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le film est trop dur a comprendre son pere est mort dans le jeu ps4 mais il continue a etre vivant dans la suite je suis méler .
Miles.. Spiderman… morales
Qui Aurait pu croire que des dessins animés allait être aussi bien réalisé que ce film! Les couleurs , les animations et le monde que nous offre ce film sont tout simplement stupéfiants! Le scénario est bon, l’action est très entraînante puis Miles morales est un excellent Spiderman! À voir absolument sur un grand écran!
Un « middle chapter »
Ce film n’est pas aussi bon que le premier et il est, selon moi, trop long. Toutefois, les scènes d’action incroyables, le voice-cast très talentueux et le style d’animation à couper le souffle gardent ton attention jusqu’à la fin, malgré les quelques problèmes.
Je pense que l’histoire est parfois trop compliquée et n’est pas aussi plaisante que le premier film.
Je tiens à souligner que c’est définitivement un « middle chapter », puisque l’histoire semble mettre en place tous les éléments pour la grande finale, contrairement au premier film qui pouvait tenir une historie à lui seul. Mais si vous êtes fan du premier comme moi, je ne pense pas que vous allez être déçu!
Bon film!
Everything Everywhere All At Once sauce Spidey.
Il y a des films qu’on a presque honte de ne pas apprécier ou, en tout cas, pas autant que la majorité du public et de la critique professionnelle. Cette suite du génial « Spider-Man, New Generation », qui rebattait les cartes du cinéma d’animation avec brio, sincérité et humilité et une fidélité incroyable aux comics, en fait assurément partie. A l’instar du multi-primé aux Oscars - et un peu partout ailleurs - « Everything, Everywhere, All At Aonce » - qu’on avait copieusement détesté sans pour autant nier son originalité, son inventivité et son jeu d’acteurs. Mais aussi, et de manière encore plus symptomatique, « Top Gun, Maverick », qu’on avait tout gentiment apprécié comme un bon divertissement mais pas au point d’en faire un pataquès comme un peu partout. C’est de nouveau le cas ici. Et c’est exactement le même problème que le film oscarisé des Daniel qui parle aussi de multivers. En investissant ce domaine très à la mode de la science-fiction, propice à toutes les folies (maîtrisées ou non), appelé le spiderverse ici, les réalisateurs nous perdent par excès.
En effet, tout va trop vite, du montage à l’histoire en passant par le nombre de personnages qu’on a à peine le temps de cerner. « Spider-Man, accross the Spiderverse » pêche par excès, notamment via son rythme épileptique et éreintant. Et comme le film des Daniel, il dure plus de deux heures et quinze minutes, ce qui fatiguera les moins téméraires à suivre ce type de cadence cinématographique. Un groupe dans lequel on se positionne clairement. Et c’est dommage tant le film recèle d’idées narratives et visuelles à la minute. Mais tempo et montage confondent ici vitesse et précipitation et le grand huit finit par nous perdre et lasser. On en prend tellement plein la vue et l’intrigue allant tellement à la vitesse de la lumière qu’on a l’impression de louper des choses et que cela frôle la limite du digeste à regarder. Il n'y a qu’à voir cette fin qui n’en finit plus de finir et loupe conséquemment son cliffangher final. Le trop-plein par lassitude en somme.
Si on enlève cette tare qui gâche un peu la fête d’une suite qu’on attendait avec une grande impatience et qui nous déçoit donc un peu, « Spider-Man, accross the Spiderverse » reste tout de même une sacrée claque technique au niveau de l’animation, de la forme et du visuel. On a carrément l’impression jouissive et jamais vue (hormis dans son prédécesseur) de voir un comics prendre réellement forme par le prisme du septième art. L’animation ici est clairement révolutionnaire et on voit que les créateurs ont pris leur temps après le premier pour nous livrer quelque chose d’inédit et de renversant dans tous les sens du terme. L’Oscar du meilleur film d’animation est déjà dans leur poche!
Les couleurs, les textures, les variations, les reliefs ou encore l’animation en elle-même sont transcendantales et impressionnantes. On ne va pas donner d’exemple. En fait, allez si, quand même : la poursuite de tous les Spider-Man après Miles Morales est dantesque. Tout comme les séquences dans Mumbattan. Bref, rien que pour cela, il faut aller le voir mais dommage que la forme soit entachée quelque peu par ce rythme frénétique à tous niveaux. La deuxième partie rattrapera cela, on l’espère, car on sort de là salle un peu sonné, conscient d’avoir vu quelque chose de magistral niveau animation mais qui nous a complètement perdu en cours de route à plusieurs reprises. Encore une fois comme « Everything, Everywhere, All at Once ». Une coincidence au final pas si improbable que ca!
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