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Je ne l'ai pas trouvé drôle (smile)... et pas épeurant non plus.
J’avais beaucoup d’attente de ce film, surtout avec de nombreuses bonnes critiques. J’ai été déçu. Dans le fond, ils ont mis des sons très stridents et une fois qu’ils nous montrent quelque chose qui devrait nous donner la frousse, ça fonctionne puisqu’on est déjà sur les nerfs à cause de ces sons aigus.
Par contre, chapeau à l’actrice Sosie Bacon qui était excellente en femme effrayée, épuisée et apeurée. Elle pourrait gagner l’oscar du rôle imitant le parkinson. Sérieux, je l’ai trouvée excellente.
Pour ce qui est des autres personnages, je trouvais qu’ils n’avaient absolument aucune sympathie/compassion pour Rose Cooter. Sa sœur et le copain de Rose m’ont frustré plus qu’autre chose. Pour moi, ce sont eux les monstres. Vivement qu’il y eût son ex-conjoint qui l’a prise au sérieux. Bien que Rose est une psychologue, elle ne sait pas comment bien s’entourer.
Excellent film si nous serions avant les années 90. Mais de nos jours, ça en prend plus pour avoir des frissons.
Il faut voir le court métrage qui a inspiré le film "Smile"
Si vous n'avez pas encore vu le film, il serait bon que vous regardiez ce qui a déclenché l'écriture du film.
Si vous avez vu le film, regarder le prélude quand même.
1- Comme vous pouvez le constater, la même actrice, Caitlin Stacey, joue dans les deux films. en entier pour le "prélude" "Laura hasn't slept" et au début pour "Smile".
2- Dans "Smile" environ au milieu du film, lorsque Rose a les gros écouteurs argent sur la tête, et écoute ce que Laura (Cailtin Stacey_dit, Rose (Sosie Bacon) recule sans cesse pour écouter. On y entend "Laura" qui est le personnage que Caitlin Stacey joue dans les deux films.
Le prélude "Laura hasn't slept" est sur YouTube, avec - en bonus - l'introduction du directeur, Parker Finn, donc, ceci est en toute légalité.Il faut chercher par le titre du court métrage sur YouTube.
Note: Ne vous laissez pas prendre par l'affiche officielle du film. On ne voit pas Laura dans le film dans un sac pour personne décédée . Et il n'y a aucune surprise dans le générique à la fin du film, mais - comme c'est l'obligation dans tous les films états-uniens qui utilisent des animaux, il est bien indiqué dans les crédits qu'aucun animal n'a été abusé. Içi, au Canada, la loi n'oblige pas cette nomenclature donc, dans nos films Canadiens, des animaux peuvent êtree vraiment torturés et cela passe, malheureusement.
WOW 🤩
Je suis resté même pour le générique et j’étais pas le seul. On veut un deuxième trop bon.
ENFIN un bon film d'horreur
Super bon film d'épouvante. Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de l'adrénaline comme ça. Depuis un bout, les films d'horreur ont tellement peur de montrer les scènes d'épouvante que finalement on perd tout intérêt. Mais dans celui-ci, on est gâté.
J'ai bien apprécié ce film du début à la fin. Le scénario est parfois difficile à suivre mais bon, quand on voit un film d'horreur, c'est avant tout pour avoir peur.
Qui rit meurt.
L’idée semblait certes un peu mince mais nous apparaissait relativement intéressante. En l’occurrence, faire un film basé sur un sourire maléfique et effrayant et ainsi développer une intrigue à partir de ce gimmick. Cela aurait pu être hasardeux et vain mais on a bien eu droit à un film de genre basé sur un jeu d’ado de cour de récré (« Action ou vérité ») et un autre sur une plateforme destinée à appeler les morts (« Ouija »). Certes, tous deux étaient des navets mais on n’était pas à l’abri d’une bonne surprise avec ce « Smile » et le marketing comme la bande-annonce donnaient envie d’y croire. Malheureusement, si le résultat n’est pas complètement à mettre à la poubelle comme les deux torchons cités juste avant, il n’y pas grand-chose de positif ni de mémorable à se mettre sous les dents, aussi voyantes soient-elles de par ce sourire qui donne son titre au film.
Au programme de ce « Smile », on aura donc une ouverture plutôt sympathique et anxiogène à base de suicide plutôt hard et extrême, constituant l’une des meilleures séquences du film mais peu surprenante puisque vendue à grand renfort de publicité. Une autre en milieu de bobine qui fait son petit effet (la séquence avec la psy) et un court final très réussi et qui fait vraiment peur (ce que tout le reste du film ne parvient pas vraiment, à moins d’être sensible ou de n’avoir jamais vu un film d’horreur de sa vie). D’ailleurs, hormis cette dernière séquence vraiment impressionnante et terrifiante qui a en plus le bon goût de ne pas terminer le film avec un happy end, on est plutôt face à un film fantastique vaguement horrifique qu’à un véritable film d’horreur ou film gore qui fout les pétoches. Quant à l’abus de jump scares inutiles et ridicules, mieux vaut en rire tellement cela devient lassant, prévisible et ridicule...
« Smile » peut compter sur l’investissement de son actrice principale, Sosie Bacon, très convaincante, mais alors pour le reste... Les seconds rôles jouent comme des endives et Jessie Usher (le A-Train de la série « The Boys ») en est le parfait exemple. En revanche, les images d metteur en scène novice Parker Finn sont soignées et ces cadrages à l’envers tout comme ses plans très épurés sont plutôt de bon goût. Si ce n’est ces quelques qualités, pas grand-chose à signaler pour ce produit de série, balisé jusque dans son déroulement programmatique à base de malédiction et d’enquête pour en venir à bout. Et que c’est long! Deux heures pour un film d’horreur comme celui-là (qui n’est pas « Hérédité » ou « The Empty Man ») c’est beaucoup trop. On s’ennuie pas mal en milieu de bobine faute d’avoir quelque chose de nouveau ou d’effrayant à se mettre sous la dent. Bref, revoyez plutôt le récent « Barbarian » qui, lui, propose quelque chose d’inédit et de véritablement stimulant.
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Smile
Bon film à suspense, j’ai sursauté.