Le gardien Critiques des membres

Très bon films

Bon film d’action toujours au rendez vous jason statham toujours aussi bon. Si vous aimer les films d’actions s’en est un bon.

Le nettoyeur

Je suis un gros fan de Statham, même si c’est pas très glorieux de l’avouer. Sa filmo est un potage aux navets, il est presque passé date, mais sa gueule me vend un film, encore aujourd’hui. Depuis Le Transporteur, il s’est bâti un personnage qui m’amuse: ex-agent/ ex-militaire, toujours ex-quekque chose qui doit reprendre du service. J’attendais que Beeskeaper sorte dans un cinéma au rabais pour aller le voir. Chu pas déçu.

C’est sûr que l’histoire des apiculteurs gouvernementaux (assassins au-dessus des lois) tient moyen la route, mais expliqué par Jeremy Irons, on veut bien y croire. Les petits fraudeurs à la solde d’une grande firme font des cibles amusantes. Quant Jason débarque au pied d’un building avec 2 bidons d’essence, on comprend qu’il a rendez-vous au dernier étage.

En disgrâce depuis Suicide squad, David Ayer demeure un bon artisan qui sait filmer des scènes d’actions et donner du rythme à son film : l’intro avec la fraude qui mène au suicide aurait pu être fastidieuse, mais Ayer y va d’un montage parallèle avec la dame devant son ordi et un Jason Statham couvert de miel à l’écurie. Au bout de 5 minutes : la dame est morte, on est ému et Jason se met à l’ouvrage. Il y a bien quelques twists, mais la seule émotion qui vaille, c’est la jubilation de voir des salopards se faire péter la gueule.

Si cette critique vous a fait sourire, vous avez de bonnes chances d’aimer le film.

Actions illogiques

Beaucoup d'actions illogiques, mais satisfaisantes.

Destruction de preuves qui auraient pu servir à incriminer les vilains, combats impossibles à gagner et un casting décevant. Sauf Statham qui donne vraiment de la valeur au film.

Les moments clés de l'histoire sont basées sur certaines bonnes idées.

C'est le genre de film où l'action est plus importante que la logique.

Excellent

Très bon film. À voir.

Presque parfait

Je ne m’attendais vraiment pas que ça soit bon commen ça. Vraiment impressionnant.

Bon film

Bon film d'action mais un peu trop de méchants pour notre cher Jason Statham. J'ai beaucoup aimé le film, j'ai passé un bon moment.

Le début d'un concession!

Laissez votre cerveau de côté et admirez Jason Statham en super forme. On peut lui reprocher un style monolithique mais le résultat demeure efficace. Le guardien est en colère car des escrocs ont ruiné l'une de ses amies. Le guardien est un ancien agent qui travaillaient sous couverture pour les forces américaines. Devenu apiculteur, il reprend du service. On assite à un ballet non stop de violence, peu sanguiglolent comparé à la série John Wick. Toute personne qui fait des transactions financières sur le web devrait écouter les 10 premières minutes de ce film. Un must qui devrait faire frémir ceux qui se croient à l'abri de tout.

stathamwick

un film d action non stop avec un supermen a l epreuve des balle un bon divertissement statham en tres grande forme

Du bon vieux Statham

De bons moments d’action qui compensent un scénario, des personnages et des dialogues moyens, mais comme on dit « ça fait la job! ». Le concept de l’apiculteur est curieux et confère une dimension fantastique, bien que pas tout le temps assumée, a la quête de justice de Jason. Car pour une fois ce n’est pas la vengeance qui anime ce justicier mais bien une justice froide et éthique. La critique principale du film sur les failles du système juridique est percutante d’autant plus qu’on ne peut donner tort à Jason. Certains perso semblent sortir tout droit de John Wick ou de CyberPunk. On aurait aimé en avoir plus pour les intégrer a l’histoire et pour donner une meilleure crédibilité à cette ruche qui gère la dynamique du pouvoir. Bon film!

Excellent film d action

Statham a son meilleur, combats à mains nues, action tout au long du film. Un très bon moment de cinéma, 9.5/10.

Le film est très similaire au premier John Wick et au film « Moins-que-rien ». Un ancien casseur de gueules sort de sa retraite pour assouvir une vengeance. Bien que le scénario soit un peu cliché, la recette fonctionne bien ici! Le film est bien rythmé avec un bon dosage d’action et d’humour. Les scènes de combat sont courtes, jamais plus de 3-4 minutes par bataille, ce qui conserve un excellent rythme au film. On s’attache facilement aux personnages, notamment à Jason Statham avec son look de redneck avec son manteau et sa casquette trop grande, ainsi qu’à Josh Hutcherson en enfant gâté-fraudeur. J’ai apprécié que le film délaisse les histoires redondantes de mafia pour y mettre un côté politique, ce qui fait changement. Bref, c’est un bon divertissement à voir.

Film de ruche.

Jason Statham et ses films d’action, c’est presque devenu un sous-genre en soi. Chaque année on voit l’acteur castagner du figurant pour X ou Y raison de scénario avec plus ou moins de réussite cinématographique. Et pourtant, si on peut être tenté de vite classer ses productions de pur divertissement sous testostérone comme de vulgaires séries B interchangeables, il y en a parfois dans le lot qui sont efficaces et mémorables. Et surtout qui donnent au spectateur avide de bastons et de fusillades ce qu’il est venu chercher avec bien plus de fond et de prestance qu’on ne l’aurait imaginé. On pense, par exemple, à « Hypertension » et son côté dégénéré, à « Homefront » et son script bien écrit ou encore aux films légers ou plus sérieux de Guy Ritchie dans lesquels l’acteur s’illustre de la plus belle des façons, de « Opération Fortune » à « Un homme en colère ». Et « The Beekeeper, le Gardien » est de ceux-là. Sans être un incontournable du cinéma d’action, c’est une série B pêchue, bien mise en scène et sans temps mort.

Peut-être que la réussite de cette nouvelle proposition où l’acteur casse des têtes et des corps à tour de bras dans ce qui aboutit à une sorte de joyeux plaisir régressif pour le spectateur tient aussi, cette fois, à son réalisateur. En effet, il s’agit de David Ayer qui a quand même signé des polars très lourds à ses débuts comme « End of Watch » ou encore l’excellent film de guerre « Fury ». Puis ensuite, il est tombé dans la marmelade hollywoodienne et n’a livré que de grosses déceptions ou des films complètement foirés tels que « Sabotage » ou « Bright » jusqu’à la catastrophe « Suicide Squad », un des films les plus attendus qui soit pour un résultat disons... très mauvais. Ici, avec un pitch de série B tel que celui-là et une promesse de divertissement simple et direct, il assure et retrouve la maestria de ses débuts pour l’action : bien filmée, bien chorégraphiée et quelques belles idées de mise en scène dans le domaine comme la séquence à la station essence ou la mise à mort du petit col-blanc mafieux sur un pont.

Jason Statham est plus inexpressif que jamais mais on ne lui demande pas grand-chose d’autre dans ce genre de rôle et de film. Et c’est presque devenu une sorte de marque de fabrique pour l’acteur. En revanche, il est toujours aussi convaincant dans la castagne contrairement à un Liam Neeson septuagénaire par exemple. Le postulat initial voyant cette milice privée d’apiculteurs que l’État emploie pour que le système perdure peut paraître un peu prétentieuse et ridicule de prime abord, surtout vus les développements internationaux d’une telle affaire proposés ici par le script, mais c’est plutôt bien négocié et on n’entre jamais sur le territoire du nanar ou du scénario débile. La mythologie autour de l’histoire et les métaphores qui vont avec ne sont pas trop bêtes, même prises au premier degré. Et tout cela permet d’écorner clairement les institutions américaines ainsi que la corruption dans les hautes sphères du pouvoir et de l’économie. De manière un peu franche et réac mais ça colle plutôt bien au récit. Après il faudra passer sur quelques invraisemblances en plus de la quasi-invincibilité du personnage de Statham mais ça fait partie du jeu. « The Beekeeper, le Gardien » est donc un bon film d’action efficace, pas bête et bien réalisé et c’est déjà beaucoup. Mais bien sûr, si tout cela est uniquement vue par le prisme du seul cinéma de divertissement du samedi soir.

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