Stéphane Rousseau était sur le tapis rouge du cinéma Impérial de Montréal, un jour après sa visite éclair à Québec, pour présenter le film Astérix aux Jeux Olympiques, méga-production française qui met en vedette Gérard Depardieu, Clovis Cornillac, Alain Delon, Benoît Poelvoorde et Rousseau dans le rôle d'Alafolix.
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Après avoir été assailli par une colonne tombante qui l'a laissé blessé au nez, Rousseau a répondu avec aplomb aux questions des journalistes tout en signant des autographes.
Le film a pris l'affiche partout au Québec le 8 juillet.
Stéphane Rousseau
Que retenez-vous du tournage? « Je retiens des belles rencontres, surtout. C’est un privilège d’avoir tourné avec des monstres du cinéma français comme Delon et Depardieu. De m’être fait des amitiés qui vont rester avec ces gars-là, aussi avec des techniciens. L’ampleur des décors, l’ampleur de tout ça. Le tapis rouge sur les Champs Élysées, c’est assez impressionnant. »
Croyez-vous que les Québécois pourront saisir toutes les références et les nombreux caméos? « Je ne pense pas. Mais cela n’empêche pas... Le deuxième a connu un très grand succès ici et le public ne pouvait pas s’identifier à tous les caméos. Parce qu’un caméo que tu ne connais pas, tu t’en fous, tu penses que c’est un acteur, s’il joue bien... Pour les Français, c’est une plus-value. Parfois il y a des références directes. Celui-là n’a pas l’humour d’Alain Chabat, c’est deux autres réalisateurs. C’est un autre truc. Je pense que c’est de beaucoup supérieur au premier, que personne n’avait aimé vraiment, mais ça n’a pas la folie du deuxième et c’est pour ça qu’il a déçu certaines critiques. »
« Mais de toute façon, c’est un film qui tient la route, c’est un film de divertissement. On ne sauve pas des vies. »