Voici les nouveautés de la semaine :
Crank ("Crinqué") - États-Unis - 88 min.
Réalisé par Mark Neveldine et Brian Taylor. Avec Jason Statham, Amy Smart.
Ayant décidé de quitter son boulot de tueur à gages pour couler des jours heureux auprès de sa petite amie Eve, Chev Chelios choisit d'épargner sa dernière victime, un caïd chinois. Peu après, un matin, le tueur réalise qu'il a été empoisonné dans son sommeil par son commanditaire, le gangster Ricky Verona, et qu'il n'a plus qu'une heure à vivre. Joint au téléphone, son médecin lui explique que, pour neutraliser temporairement le cocktail mortel qu'on lui a injecté, il doit stimuler son coeur de toutes les façons possibles. C'est donc à cent à l'heure que Chev parcourt la ville à la recherche de Verona, détenteur de l'antidote, tout en prenant au passage Eve. Celle-ci apprendra de façon brutale la vérité sur les activités criminelles de son amoureux.
Trust the Man - États-Unis - 103 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Bart Freundlich avec Julianne Moore, David Duchovny.
Pendant que la célèbre actrice Rebecca répète une pièce qui sera présentée prochainement à Broadway, son mari Tom reste à la maison pour s'occuper de leurs deux jeunes enfants. Hélas, son rôle de père au foyer ne l'enchante guère, et son obsession pour le sexe refroidit les ardeurs de Rebecca. Pendant ce temps, le frère de cette dernière, l'immature Tobey, hésite à s'engager définitivement auprès de sa petite amie Elaine, qui aimerait pour sa part fonder une famille. Divers incidents ou événements imprévus viendront remettre en question la vie de ces deux couples.
The Wicker Man - États-Unis - 97 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Neil LaBute. Avec Nicolas Cage, Ellen Burstyn.
Le policier Edward Malus reçoit une lettre d'une femme le suppliant de faire enquête afin de retrouver sa fillette, qui aurait disparu à Summersisle, une île au large de l'État de Washington. Arrivé dans ce lieu reculé et isolé de tout, Malus découvre une population essentiellement féminine, aux coutumes d'un autre siècle, qui s'adonne à d'inquiétants rites païens.
The Quiet - États-Unis - 91 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Jamie Babbit Avec Camilla Belle, Elisha Cuthbert.
À la mort accidentelle de son père, Dot, une adolescente sourde et muette depuis le décès de sa mère survenu dix ans plus tôt, part vivre chez son parrain, l'architecte Paul Deer, dans une banlieue cossue du Connecticut. Nina, la fille de celui-ci, traite avec mépris cette demi-soeur qui, à la moindre occasion, s'isole afin de jouer au piano des pièces de Beethoven. Ce don pour la musique, ainsi que sa surdité, séduisent Connor, un compagnon de classe de Nina, qui fait d'elle sa confidente et son amante. Parallèlement, Dot découvre de troublants secrets concernant les Deer. Ainsi, à chaque nuit, tandis que son épouse neurasthénique dort, Paul va retrouver Nina dans sa chambre. Une situation que la jeune fille trouve de plus en plus insupportable.
Nuit noire, 17 octobre 1961 - France - 108 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Alain Tasma. Avec Clotilde Courau, Jean-Michel Portal.
Paris, octobre 1961. Tandis que gronde au loin la guerre d'Algérie, à Paris, les tensions entre Français de souche et immigrants algériens atteignent des sommets. Des membres du Front de libération nationale (FLN) abattent des policiers en pleine rue. Dans les rangs de ces derniers, la colère monte, provoquant des abus graves contre d'innocents maghrébins. Les destins d'un étudiant algérien, d'un gendarme désabusé, d'une journaliste mondaine, d'un dirigeant du FLN de Nanterre et d'une poignée d'autres personnages s'entrecroisent au soir du 17 octobre, alors que vingt mille Algériens en colère défilent pacifiquement dans les rues de la Ville Lumière. Armés jusqu'aux dents, les policiers reçoivent de leur préfet Maurice Papon l'ordre d'ouvrir le feu.
La vie secrète des gens heureux - Québec - 101 min.
Dès le mardi 5 septembre.
Réalisé par Stéphane Lapointe. Avec Catherine de Léan, Marc Paquet.
Thomas, étudiant en architecture, vit encore chez ses parents, où la déception qu'il inspire à son père, depuis le départ de sa soeur aînée pour Londres, lui paraît chaque jour plus évidente. Tandis que celui-ci, riche architecte, s'étonne de ne trouver aucune trace apparente de ses gènes dans ce fils timoré et peu ambitieux, son épouse, mordue de jeux télévisés, se montre au contraire rassurante et optimiste. Le vent tourne lorsque Thomas fait la connaissance d'Audrey, une serveuse dégourdie qui, contre toute attente, cède à ses charmes discrets. Mais la belle, que Thomas a présentée fièrement à ses parents, cultive son mystère et se montre le plus souvent insaisissable.
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