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Père et fils envers et contre tout.
Après le culte pour beaucoup et mondialement reconnu « Alabama Monroe », puis « Belgica », le cinéaste flamand Felix Van Groeningen a répondu aux sirènes d’Hollywood et ne s’y est pas cassé les dents comme beaucoup de ceux qui tentent une première expérience américaine. On ne pourra pas non plus dire qu’on se remémorera de « My beautiful boy » comme d’une pépite indispensable mais c’est un bon film réussi dans les grandes largeurs. Il adapte l’histoire vraie d’un célèbre journaliste américain qui va devoir se battre par amour pour son fils contre l’addiction de ce dernier à tous type de drogues. Le long-métrage se propose donc autant de nous montrer un film sur la dépendance aux psychotropes que l’amour inconditionnel d’un père pour son enfant. Sur ces deux versants c’est plutôt bien et finement vu. Mais on préfèrera le côté passionnant et touchant du combat de ce père. De voir comment cet homme va tout faire pour sauver son fils ainsi que la détresse qu’il ressent de voir sa progéniture s’autodétruire dans l’impuissance est fort et beau à voir. Les moments purement centrés sur la toxicomanie et l’addiction sont moins surprenants même s’ils évitent de sombrer dans une condamnation trop facile et en montrent beaucoup d’aspects sans jugement et de manière juste. Le dur chemin de la rédemption entre espoir et rechute attendues est balisé et attendu mais l’émotion nous étreint quand même tant la situation est triste à voir. En revanche, on n’est pas forcément ému aux moments prévus, avec musique triste à l’appui, mais durant d’autres, moins évidents, comme lors de cette poursuite en voiture entre une belle-mère à bout de nerfs et son beau-fils en fuite avec sa copine.
La construction aléatoire du récit, au début notamment avec ses retours en arrière récurrents et quelques flashbacks de l’enfance, ne s’imposait pas tout comme on peut dénoter un certain maniérisme dans la mise en scène pour faire joli et très cinéma indépendant chic. Surtout sur un sujet comme celui-là. Mais les images sont si agréables et se prêtent parfaitement au décor du film dans les paysages de campagne verdoyants et naturels de la Californie du Nord, alors on ne fait pas le difficile. A l’inverse, on ne peut que saluer les performances d’acteurs du duo principal. Steve Carell est brillant de justesse dans la façon dont il intériorise la souffrance de voir son fils se laisser mourir. Il prouve ainsi que le temps des comédies potaches est bien loin derrière lui. Quant à Timothée Chalamet, il montre (même s’il n’était plus nécessaire de le prouver), qu’il est le jeune acteur le plus intéressant et versatile du moment pour son âge. Il prend son rôle de toxicomane à bras le corps et évite tout cliché ou caricature. Il est impressionnant tout simplement. Les seconds rôles ne sont pas en reste avec ces dames incarnées par Maura Tierney et Amy Ryan, toutes deux très bien. « My beautiful boy » a la bonne idée de rester lumineux sur le fond comme sur la forme malgré son sujet lourd et douloureux et c’est aussi une de ces forces. C’est une œuvre à la fois touchante et utile qui parle autant au cœur qu’à l’esprit et portée par un duo d’acteurs au sommet.
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les parents, à quoi ça sert ?
mais kesque ns faisons de si malicieux pour rendre ns enfants si détraqués quand ils "pognent" l'âge de l'ado ? Kesque qu'on fait donc pour les rendre tout "croches" pour qu'ils fassent naufrage dans le pot ? Déjà à 15 ans plein de cicatrices ? Hein ? À 15 ans ? Pas à 30, pas à 40 ans, mais à 15 ans ?...ce n'est qu'à la maison, dans la famille, avec le papa-maman ou le papa-papa ou la mama-mama que ces cicatrices se sont produites. Et Vlan! Alors qui de vous deux a eu le don de massacrer l'enfant par une constance "intimidation" (Bullying) dans son enfance ??? Tiens! un indice ? "Une relation Maternelle défectueuse entraîne une stimulation défectueuse". Encore; "Il faut sensibiliser la Mère aux préjudices psychiques qui peuvent jaillir à partir d'actes individuels". Et Vlan! C'est fort, ça! "À partir d'actes individuels", kes à dire ? L'intimidation subtile et destructive insoupçonnée à répétition ? Pendant les trois premières années...et au-delà ?
Premier Choc bouleversant d’un bambin de 3 ans
Un beau jour de canicule écrasante, la maman a accepté l’invitation de sa voisine pour une « saucette » dans sa piscine. Hourra! Cette voisine a une petite fille de trois ans du même âge que le bambin. Comme leurs mamans sont « très libérales», elles les laissent se baigner nus. Ne voyant rien de « louche ». Mais c’est la Première fois pour le garçon devant un corps nu d’une petite fille et voilà qu’il pique une crise de nerfs de panique soudaine. Il pleure comme un débile. Il est TRÈS agité! Sa maman est tellement déçue de son attitude qu’elle l’empoigne brusquement et le ramène à la maison en le questionnant sans cesse sur son comportement… inapproprié! Ils ne se comprennent pas encore une fois ! Mais pas du tout! Plus elle l’engueule et lui crie par la tête des jurons, plus il est désespéré et il la supplie sans cesse de ne pas le punir en lui coupant son zizi comme la petite fille de la voisine comme sa maman l’a menacé tant de fois s’il ne cessait pas de faire pipi dans sa culotte…
Bambin;
« Attends, toé, quand j’va êt’e GRAND-GRAND- j’va t’faire subir, toi et tes semblables, le même « châtiment » !...Et en TRIPLE !, ‘stie! »
(Vous allez le reconnaître. On parle souvent de lui. Dans les journaux. Plus souvent à la télé. Du monde. “Violences-manigances-vengeances” faites aux autres, vous connaissez, hein ??? )