Voici les nouveautés de la semaine.
Edge of Darkness (La frontière des ténèbres) - Grande-Bretagne, États-Unis - 117 min.
Réalisé par Martin Campbell. Avec Mel Gibson, Ray Winstone.
Sur le porche de sa maison, Thomas Craven assiste, impuissant, à l'assassinat de sa fille Emma, âgée de vingt-cinq ans. Cela ne fait aucun doute, la cible de cet attentat n'était pas la jeune fille, mais lui, qui est inspecteur de police à la ville de Boston depuis de nombreuses années. Mais comme il s'aventure dans les pistes troubles qui se dévoilent devant lui, Thomas réalise qu'il ne connaissait qu'un fragment de la vie de sa fille, et qu'il n'était peut-être pas, finalement, la cible de cet attentat sauvage. Les pièces du puzzle se mettent en place et les cadavres s'accumulent au fil de l'enquête...
Lucky Luke - France - 104 min.
Réalisé par James Huth. Avec Jean Dujardin, Melvil Poupaud.
Envoyé à Daisy Town par le Président des États-Unis afin de rétablir l'ordre, Lucky Luke doit déloger le magicien Pat Poker et ses petits criminels. Reconnu pour n'avoir jamais tué personne, Lucky Luke est profondément affecté lorsqu'il tue Poker dans un duel. Décidé à renoncer à son arme, il laisse la ville aux malfrats, dont le célèbre Billy The Kid. Mais la non moins célèbre Calamity Jane décide de veiller sur la ville pendant son absence. Jesse James se joint à elle en attendant de pouvoir tuer Luke. Tombé amoureux de Belle, Luke décide de nettoyer la ville une bonne fois pour toutes avec l'aide de son fidèle ami, le gouverneur Maurice Austin Cooper, qui l'a recueilli suite à la mort de ses parents.
L'affaire Farewell - France - 113 min.
Réalisé par Christian Carion. Avec Guillaume Canet, Emir Kusturica.
Dans les années 80, Pierre Froment, un ingénieur français en poste à Moscou avec sa femme et ses enfants, est mis en contact avec un colonel du KGB qui désire transmettre des informations aux services secrets français. Y voyant l'occasion de se réhabiliter auprès du Président Reagan, qui lui reproche d'avoir des ministres communistes au sein de son gouvernement, François Mitterrand contacte les Américains. Sur le terrain, Pierre et l'espion, surnommé « Farewell », se rencontrent de manière illicite en mettant en danger leurs familles respectives. Alors qu'une importante liste d'agents doubles soviétiques en poste en Occident s'apprête à être dévoilée, Pierre et sa famille subissent des pressions de plus en plus fortes.
When in Rome (C'était à Rome) - États-Unis - 91 min.
Réalisé par Marc Steven Johnson. Avec Kristen Bell, Josh Duhamel.
Beth, une ambitieuse conservatrice du musée Guggenheim, doit se rendre à Rome pour le mariage impromptu de sa soeur. Sur place, elle fait la connaissance de Nick, le garçon d'honneur. Pour elle, c'est le coup de foudre, mais lorsqu'elle le voit, un peu plus tard dans la soirée, embrasser une belle Italienne, son conte de fées se transforme en cauchemar. Fâchée et un peu enivrée par le champagne, elle entre pied joint dans la fontaine d'Amore, supposé accorder l'amour à ceux qui y jettent une pièce de monnaie. Elle récupère alors quelques-unes de ces pièces et rentre chez elle. Ce qu'elle ignorait par contre c'est que le sort s'est inversé; les hommes à qui appartenaient les pièces qu'elle a volées dans la fontaine sont maintenant fous amoureux d'elle et font le voyage jusqu'aux États-Unis pour la retrouver.
Le dernier pour la route - France - 106 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Philippe Godeau. Avec François Cluzet, Mélanie Thierry.
Hervé Chabalier est le patron d'une grande agence de presse française. Sa vie, depuis de nombreuses années, est un véritable enfer. Bien plus encore que son boulot, qui accapare tous ses temps libres, c'est l'alcool qui règle sa vie – qui la dérègle sans cesse. Un jour, il prend la résolution de mettre un terme à la torture qu'il inflige aux siens, de se sauver de la mort certaine qui l'attend, d'arrêter de boire. Il entre en cure de désintoxication. Là, il rencontre d'autres alcooliques qui, comme lui, tentent de reprendre leur vie en main. Isolé, apprenant à combattre une envie qui ne disparaîtra jamais, Hervé Chabalier renoue peu à peu avec sa propre vie...
High Life - Canada - 80 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Gary Yates. Avec Timothy Olyphant, Rossif Sutherland.
Au début des années 80, Dick, bandit à la petite semaine accro à la morphine, retrouve son ancien compagnon de cellule, Bug, lui aussi junkie. Ayant perdu son travail de concierge, Dick cherche un moyen de gagner de l'argent très rapidement pour pouvoir payer sa drogue. S'associant à Bug et à deux autres junkies, Dick échafaude un plan en apparence infaillible permettant d'éviter les effusions de sang : faire croire qu'un guichet automatique est défectueux afin qu'il soit ouvert et que la bande puisse le dévaliser aisément. Or, un problème survient dès la première étape, et le plan prend un tournant tout à fait imprévu.
Rachel - France, Belgique - 100 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Simone Bitton.
Le 16 mars 2003, Rachel Corrie, une pacifiste américaine de 22 ans qui croit que sa nationalité, à elle seule, suffit à faire d'elle un bouclier humain, se dresse entre un bulldozer de l'armée israélienne et la maison d'un médecin palestinien. Simple incident, ou meurtre déguisé? C'est la question que pose la documentariste Simone Bitton en tentant, quelques années plus tard, d'élucider les circonstances mystérieuses qui ont entouré la mort tragique de la jeune Rachel. Par les nombreux témoignages qu'elle recueille, la documentariste effectue, à rebours, le véritable travail d'enquête qui n'a jamais été fait, à propos de cet incident.
Helen - États-Unis, Grande-Bretagne, Allemagne - 119 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Sandra Nettelbeck. Avec Ashley Judd, Goran Visnjic.
La maladie d'Helen la frappe sans prévenir, chamboule sa vie parfaite qu'elle écoule gaiement, avec son mari David et sa fille Julie. Rien ne paraît, Helen se cache, souffre d'abord en silence. Les crises qui la frappent sont d'abord épisodiques, puis deviennent de plus en plus fréquentes. Physiquement, Helen ne souffre d'aucunes maladie. Le docteur l'a dit. C'est plus haut, quelque part dans son cerveau, que les choses clochent… Mais pas question, pour Helen, d'admettre une telle chose. Seule Mathilda, qui a déjà vécu telle épreuve, qui aime la musique, comme elle, peut la comprendre… Ainsi, Helen s'éloigne de son mari et de sa fille, qui sont à leur tour happés par la souffrance.
Les résumés ont été rédigés par Cinoche.com.