Vox Lux

Vox Lux est un récit réussi sur l'héritage de la violence. Il en sort un portrait douloureux d'un siècle tourmenté à la recherche d'espoir et de légèreté.

Le principal écueil de ce deuxième long métrage de Brady Corbet à titre de réalisateur est son déséquilibre sur le plan narratif. Vox Lux se veut « un portrait du XXIe siècle » à travers le parcours d'une superstar de la musique pop, dont la jeunesse a été marquée par un drame typique de la nouvelle « normalité » de notre époque.

Mis en scène avec ferveur et exubérance, l'ensemble peut paraître tapageur, mais il gagne en crédibilité grâce au riche commentaire social et économique lu en voix off par Willem Dafoe

It occurs to me that the effect of "Vox Lux" was exactly the opposite.

The film raises questions about the blurry intersection of fame and tragedy, but it occasionally dips into cliché.

Vox Lux has all the pieces to do so at its disposal (...).

The star gives a take-no-prisoners performance as chart-topping musician formed (and scarred) by tragedy.

It's a mixed bag, but that ending is A+, as are some of the performances.