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Distribution

Réalisation

Production

Studio

  • Metafilms

Distributeur

  • Maison 4:3

Bande-annonce & Images

Revues de presse

Films du Québec

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Une langue universelle permet de s'immerger dans un univers souvent captivant et totalement inédit, offrant un regard à la fois tendre et acéré sur notre société. Ainsi, en seulement deux longs métrages, Rankin s'est imposé comme l'un des réalisateurs canadiens les plus audacieux de sa génération, façonnant un cinéma singulier et profondément évocateur.

Charles-Henri Ramond Lire la critique complète

Le petit septième

Excellent
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Il ne serait pas non plus surprenant que ce film devienne culte, et pas seulement pour les Canadiens, tant il arbore une personnalité forte et mystérieuse. Un essentiel de cette année, dont la nomination aux Oscars du film étranger de l'année est fortement méritée.

Jean-François Vaudrin Lire la critique complète

KinoCulture Montréal

Très bon
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La cinématographie d'Isabelle Stachtchenko, par ses plans amples, embrasse cette agglomération, laissant apparaître quelques beautés dans cette banalité bétonnée et offrant un terrain de jeux propice à l'accumulation de moments pince-sans-rire, rigolos ou carrément absurdes. La dernière partie relie tendrement tous les fils de ce canevas.

Luc Chaput Lire la critique complète

Le Devoir

Excellent
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Une langue universelle se tisse dans une triangulation d'esthétiques que tout oppose (l'Iran, le Québec et Winnipeg), mais qui en viennent à s'enlacer dans une fascinante courtepointe, à se fluidifier sous l'oeil du seul réalisateur capable d'un tel tour de force. Iconoclaste, certes, ce film l'est, mais dans la pleine maîtrise du septième art.

Sarah-louise Pelletier-Morin Lire la critique complète

Journal de Montréal

Excellent
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À travers une galerie de personnages attachants, Rankin déploie un humour absurde et pince-sans-rire qui fait autant rire que réfléchir.

Maxime Demers Lire la critique complète

La Presse

Excellent
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Absolument charmant et poétique, le deuxième long métrage de Matthew Rankin après Le vingtième siècle, une satire biographique sur l'ex-premier ministre canadien Mackenzie King, est une comédie tout aussi absurde qui puise son inspiration dans la vie du cinéaste originaire de Winnipeg (il fut fonctionnaire au gouvernement du Québec) et son amour du cinéma iranien.

Marc Cassivi Lire la critique complète

Médiafilm

Très bon
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Résultat: un film existentiel décalé, cultivant le saugrenu et l'absurde, néanmoins traversé de moments d'une prenante mélancolie. Très stylisée, la mise en scène de Rankin épouse admirablement son propos.

Louis-Paul Rioux Lire la critique complète