Certaines fonctionnalités sont temporairement indisponibles en raison d’une mise à niveau; retour à la normale sous peu. Merci de votre compréhension.
Sans rancune
v.o.a. : No Hard Feelings
Maddie peine à joindre les deux bouts avec ses emplois de serveuse et de chauffeuse Uber. Comme si les choses pouvaient aller encore plus mal, sa voiture vient d'être saisie, et elle risque à présent de perdre la maison que lui a légué sa mère. La solution à ses problèmes se manifeste un jour sous la forme d'une petite annonce partagée par un couple cherchant à dégourdir leur fils introverti de 19 ans, Percy, avant que celui-ci fasse son entrée à l'université. Si Maddie réussit à faire sortir Percy de sa coquille, elle recevra une nouvelle voiture en échange. La tâche s'annonce toutefois beaucoup plus complexe qu'anticipé.
Distribution
- Jennifer Lawrence (Maddie)
- Andrew Barth Feldman (Percy)
- Laura Benanti (Allison)
- Matthew Broderick (Laird)
- Ebon Moss-Bachrach
- Hasan Minhaj (Doug)
- Natalie Morales (Sara)
Réalisation
Scénarisation
Studio
- Excellent Cadaver
- Odenkirk Provissiero Entertainment
- Sony Pictures Entertainment (SPE)
Distributeur
- Sony Pictures
Liens
Revues de presse
Entertainment Weekly
There's an unevenness to some of the more outlandish gags, and it's hard not to compare the film to similar (and more subversive) fare like Trainwreck or Girls Trip. Still, No Hard Feelings is a welcome addition to a dwindling genre -- and a reminder that Lawrence is one Hollywood's best (and funniest) leads.
Lire la critique complèteJoblo.com
Best of all, though, is that Lawrence and Barth-Feldman's casting is spot on. They cast two personable leads and were their characters not so good-natured, it's doubtful the movie would have worked at all.
Lire la critique complèteAgence QMI
Ce Sans rancune en forme de fable morale déjà vue - la femme vénale dont le grand coeur sert de rédemption - comporte quelques bons aspects à souligner. Jennifer Lawrence excelle dans l'humour physique en accumulant les gaffes et les maladresses.
Lire la critique complèteLa Presse
Malheureusement, presque tout tombe à plat, et l'inconfort est trop important pour apprécier la poignée de gags réussis. Rien de nouveau sous le soleil.
Lire la critique complèteMédiafilm
À la réalisation, Gene Stupnitsky ne semble visiblement pas soucieux de laisser une quelconque signature stylistique. Son travail possède néanmoins l'entrain et le rythme requis.
Lire la critique complète