Rebelle

 Techniquement époustouflant, visuellement magnifique, ce nouveau film des studios d'animation Pixar propose un charmant récit inspiré de légendes écossaises, sur les thèmes des relations mère-fille, du sens des responsabilités et des méfaits de l'orgueil.

Mais si les fils de la narration semblent parfois enchevêtrés et que des scènes très mélodramatiques sont un peu trop appuyées, Rebelle reste un divertissement intelligent, extrêmement bien fait et surtout original, sur une thématique qu'on croyait usée à la corde.

Porté par un gentil récit sans grands rebondissements, hormis quelques poursuites et batailles mettant en scène de féroces ours, Brave comporte trop peu de références parodiques, de trouvailles amusantes d'autodérision pour captiver les plus de 10 ans.

Comme d'habitude chez Pixar, le film mélange, avec finesse, humour, action et tendresse, dans une histoire sans longueur et habilement racontée.

Vous l'avez compris, Rebelle n'est pas du Pixar, c'est du Disney. Si la princesse en question se rebelle, c'est pour mieux faire la paix avec ses parents et si elle fait des erreurs, c'est pour mieux les corriger.

Brave is neither Pixar's greatest movie, nor their worst, but like all the others is better than 95% of what we typically see in theaters. The film itself follows a character that wants her independence and the chance to prove her strengths as an individual. Perhaps that's the best way to view Brave as well.

The 3D is also refreshingly well-conceived, although the story is good enough the extra eye-candy isn't a must.

Pixar's 13th feature plays it safe and old-fashioned rather than risky and adventurous.

Brave will draw chuckles and may elicit tears, but more importantly it introduces audiences to a new breed of Disney princess - one brimming with self-confidence, strong opinions, athletic skills, determination, loyalty and a head full of unruly curls.

No one seems to review a Pixar film without comparing it to other Pixar films. OK, Brave isn't The Incredibles or Toy Story. So? It's still a rousing, gorgeously animated good time.

It hasn't been easy, to judge by the deep divide between the movie's seductive pictorial splendor and its discouragingly uninspired script by Mark Andrews, Steve Purcell, Brenda Chapman and Irene Mecchi.