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Schizophrénie: combattre les préjugés.
Ce film américain semble plein de bonne volonté: il lutte contre les préjugés. La schizophrénie du personnage principal est le thème de ce scénario. La question raciale est présente comme dans tout bon film américain: un itinérant schizophrène noir (Nathaniel) et un journaliste blanc blasé (Steve). Pourrait-on imaginer un film dans lequel ces rôles auraient été inversés? Il ne manque pas d’originalité cet itinérant (costumes, maquillage, comportement). On nous le présente comme étant un personnage authentique lorsqu’il joue avec son violoncelle dans des endroits publics. Je dois avouer qu’ayant croisé de nombreux clochards à Montréal, je n’ai jamais rencontré un tel cas. Cette maladie est très sournoise: il est en santé à l’adolescence, mais à l’âge adulte sa santé dépérit soudainement. Il y a quelques longueurs cependant.