Le porte-bonheur

Une réflexion superficielle sur le destin, des émotions manufacturées, un dénouement risible, une interprétation fade pour l'acteur, chargée pour l'actrice, même le public-cible féminin risque de ne pas y trouver son compte.

Le réalisateur Scott Hicks (un habitué du film romantique) et le scénariste Will Fetters, inspiré par un roman de Nicholas Sparks, sans appuyer sur les connotations sociopolitiques, ont bien veillé à fabriquer un produit de divertissement propre, lisse, émouvant quand c'est le temps et généralement bien rendu.

Film conçu pour un public féminin, The Lucky One est une romance souvent indigeste où il est possible de voir Zac Efron torse nu. De quoi se rincer l'oeil quelques secondes et bayer aux corneilles par la suite.

Efron est surprenant d'humanité. Sa performance est à la fois puissante et retenue, comme s'il avait mis le bouchon sur une bouteille d'explosif liquide.

The Lucky One doesn't have anything going for it that would make it worth the price of admission.

There's nothing wrong with a good romance (many of my favourite films fall into that category) - but for me, this doesn't even come close to being one.

Zac Efron makes his debut as a hunk in this bland Nicholas Sparks romantic concoction.

So the clichés are as thick as a vat of honey. And the love story proves just as syrupy. But for those who lap up this sappy vision of romance, it contains all the key ingredients.

Consider yourself lucky if this review is the closest you get to the contamination known as The Lucky One.

If realism is what you're after, you'll do better at The Three Stooges. The Lucky One is where you will find death, redemption and kisses in the rain.