Le justicier 3

Reteaming for the fifth time, director Antoine Fuqua and his Training Dar star leverage the familiarity they've established for the audience's benefit.

For those not motivated purely by a desire for cinematic bloodlust accompanied by an abrasive musical score that sounds like electronic fingernails on a blackboard, there's some fun to be had.

Denzel Washington's Robert McCall is back for his final mission, but the movie is so fun you'll hope they keep making more.

The Equalizer 3 is built to serve up more of what its predecessors have already delivered.

Des films mettant en vedette un justicier sans scrupules qui se déguise en ange exterminateur stoïque où, seul contre tous, il réussit à se débarrasser de dangereux malfrats afin de retrouver une forme de paix intérieure.

Le résultat hyper violent, mais sans l'humour d'un Quentin Tarantino ou d'un Robert Rodriguez et sans l'ambiguïté du Ridley Scott finit, malheureusement, par s'avérer plus poussif que jouissif.

La symbolique religieuse demeurait subtile dans les deux premiers chapitres. Dans celui qui prend l'affiche ce vendredi, elle est presque de chaque plan tellement le film est truffé d'imagerie chrétienne.

Mais l'ensemble demeure divertissant et étonnamment chaleureux, grâce au jeu sobre de Washington, plus charismatique que jamais.