Certaines fonctionnalités sont temporairement indisponibles en raison d’une mise à niveau; retour à la normale sous peu. Merci de votre compréhension.
Le brutaliste
v.o.a. : The Brutalist
v.o.a.s.-t.f. : Le brutaliste
Survivant de l'Holocauste, l'architecte hongrois László Tóth parvient à se rendre en Amérique, laissant derrière lui sa femme, Erzsébet, et sa nièce orpheline, Zsófia. À Philadelphie, il est accueilli par son cousin Attila, qui a épousé une Américaine. Le couple lui offre un emploi dans son usine de fabrication de meubles et le gîte, modeste, dans l'arrière-boutique. L'occasion pour László de renouer avec l'architecture se présente lorsque les services de l'entreprise d'Attila sont retenus pour rénover de fond en comble la bibliothèque de Harrison Van Buren, un riche industriel. Les choses ne se passent cependant pas comme prévu et László se brouille avec Attila, ce qui le plonge dans une situation précaire et risque d'anéantir tout espoir de réunification avec sa famille.
Distribution
- Adrien Brody (László Tóth)
- Felicity Jones (Erzsébet Tóth)
- Guy Pearce (Harrison Lee Van Buren Sr.)
- Joe Alwyn (Harry Lee)
- Raffey Cassidy (Zsófia)
- Stacy Martin (Maggie Lee)
- Isaach De Bankolé (Gordon)
- Alessandro Nivola (Attila)
- Ariane Labed (Older Zsofia)
Réalisation
Scénarisation
Studio
- Brookstreet Pictures
- Kaplan Morrison
- Andrew Lauren Productions (ALP)
Distributeur
- Entract Films
Liens
Revues de presse
KinoCulture Montréal
Par le travail remarquable de son équipe soudée dont Judy Becker à la conception des décors et de Lol Crawley, le directeur photo, Brady Corbett, auparavant acteur pour certains grands cinéastes, a réussi une oeuvre littéralement monumentale, évoquant par exemple The Magnificent Ambersons (La splendeur des Anderson), le Orson Welles de 1942, qui distille avec intensité la relation entre argent et art dans un univers encore si présent aujourd'hui.
Lire la critique complèteVariety
It's clear that Corbet made this movie because he wants it to mean something big. Whether it does may be in the eye of the beholder. Mostly, The Brutalist lets you feel that you're seeing a man's life pass before your eyes. That may be meaning enough.
Lire la critique complèteThe Wrap
Taken as a whole, The Brutalist both mourns and celebrates American ambition -the ambitions of an immigrant class trying for a new life with no guarantee of success, and the ambitions of a filmmaker filling a canvas with a lifetime of obsessions.
Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
The Brutalist is a massive film in every sense, closing with a resonant epilogue that illustrates how art and beauty reach out from the past, transcending space and time to reveal a freedom of thought and identity often denied its makers.
Lire la critique complèteLe Devoir
Autour du destin d'un architecte fictif, Brady Corbet construit une chronique fascinante et riche de sens cachés.
Lire la critique complèteMédiafilm
Méditation ambitieuse sur l'immigration et le rêve américain. Première partie puissante, seconde plus fragile. Mise en scène ample. Composition intense et nuancée d'Adrian Brody.
Lire la critique complète