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Je vais mieux
Laurent, un quinquagénaire qui travaille dans un grand cabinet d'architectes à Paris, est un jour victime d'un mal de dos foudroyant. Déterminé à trouver l'origine de son mal, il passe une batterie de tests auprès des plus grands spécialistes, de la radiologie à l'ostéopathie. Mais, tous les professionnels sont formels : cette insupportable douleur est psychologique. Entre son travail exigeant, sa femme et sa famille, il doit s'efforcer de trouver ce qui le rend si mal en point et qu'elles sont les actions qu'il doit poser pour se sentir enfin mieux.
Réalisation
Scénarisation
Production
Studio
- EuropaCorp
Distributeur
- MK2│Mile End
Liens
Revues de presse
L'Express
Les scènes s'enchaînent sans lien, les dialogues sont d'une platitude abyssale.
Lire la critique complèteLe Figaro
Une comédie à deux temps, sympathique d'abord, trop molle ensuite. Améris a de la sensibilité. Et s'il essayait le punch?
Lire la critique complèteLe Monde
Passant à grands coups de barre de la caricature extrême à l'onirisme excessif, réalisateur et interprète produisent tant de dissonances que l'on peine à entendre la petite musique mélancolique qu'on croit parfois deviner.
Lire la critique complèteSéquences
Dans ce jeu adorable de l'amour, du hasard et de l'incommunicabilité, Laurent (Elmosnino) trouve malgré tout le temps de tomber amoureux de Pauline, une Alice Pol follement vertigineuse dans sa quiétude aussi sensuelle que délicatement opportune.
Lire la critique complèteLe Soleil
Pas beaucoup de traces de l'écriture caustique de Foenkinos dans cette adaptation pour le grand écran. Émeris se contente d'aligner les scènes anecdotiques autour de son malade imaginaire sans chercher à faire vivre l'émotion que commande le sujet, au demeurant fort intéressant. Au final, l'aspect caricatural de l'entreprise l'emporte, dommage.
Lire la critique complèteMédiafilm
La situation de départ (le mal de dos résultant du poids de l'entourage sur les épaules du protagoniste) offrait de nombreuses possibilités comiques. Jean-Pierre Alméris n'a pas su les exploiter pleinement.
Lire la critique complète