Iron Man 3

Tony Stark flies high again.

Bref, du divertissement très bien fait.

Succédant à Jon Favreau à la barre, le scénariste et réalisateur Shane Black se montre à la hauteur en livrant une suite satisfaisante d'une franchise à succès dont le récit mise en premier lieu sur les tourments intérieurs du superhéros.

Bien que le rythme s'avère plus vivant que le précédent, que les scènes d'action soient spectaculaires à souhait sans pour autant être mémorables, force est de constater que la franchise est au bout de son rouleau et qu'il serait tant de passer à un autre appel.

Iron Man 3 est un film à l'image de son héros : confus. Il n'y a malheureusement aucun répit dans le montage qui laisserait le temps de révéler une profondeur de caractères chez les personnages qui ressemblent finalement à une bande de pantins sur pattes pour qui la loi du talion reste la seule voie possible.

Robert Downey Jr est parfaitement à l'aise dans le rôle d'un milliardaire arrogant obligé de redevenir un artisan pour retrouver un uniforme assez fort pour lui.

Dans son ensemble, Iron Man 3 est un bon film de super-héros, sûrment l'un des meilleurs depuis les dernières années.

Iron Man 3 is the rare sequel that feels like it's grown out of a perfect understanding of what worked and what didn't in the previous films.

Iron Man 3 delivers on nearly all counts.

Obviously, if you loved the other Marvel films, you can reasonably assume that you'll have a great time with Iron Man 3, even though some purists may object to some of the twists and turns Black and company have managed to incorporate.

This may sound like heresy, but I'm getting Robert Downey'ed-out - at least as Iron Man and his alter ego, Tony Stark.

Bookended with promise and vitality, the film is cursed by a full middle hour that all but completely perishes from its own meandering dormancy.

Iron Man 3 est un film qui traite aussi de désespoir, de solitude, d'amour et de devoirs: d'humanité. Il s'inscrit dans une longue lignée de films depuis Metropolis (Fritz Lang, 1927) qui traite des dangers de la machine et de la séparation des classes.