Histoires effrayantes à raconter dans le noir

Malgré ses défauts, Scary Stories to Tell in the Dark demeure donc l'une des bonnes surprises horrifiques de cette année 2019. Année principalement marquée par le très bon reboot de Child's Play et surtout par Midsommar, chef-d'oeuvre incontestable d'Ari Aster.

Reste quand même un bon suspense d'épouvante où la mort est présentée avec un humour pince-sans-rire, et parfois même de façons très illustrative, voire même cruelle, osant provoquer le spectateur, comme c'est le cas dans le cinéma de genre.

Dans une éventuelle suite (que la fin du film cherche à évoquer), on espérera encore plus d'originalité, d'audace, tout en conservant le ton et la qualité cinématographique de Scary Stories to tell in the dark.

Dommage, car d'une part, l'exercice profite d'une mise en scène élégante et d'une interprétation convaincante, d'autre part, le discours sociopolitique se révèle aussi audacieux que pertinent, de même que la méditation sous-jacente sur l'importance des histoires que l'on se raconte.

But a lot of younger audience members will be begging their parents to keep at least one bedroom light on after seeing it. I'd bet my big toe on it!

Scary Stories feels surprisingly welcoming for a horror movie, leaving aside excess gore and chills for a solid yarn about teens on a thrilling horror adventure romp in their small town.

Is it highly odd or highly appropriate that a movie all about the poisonous power of unresolved stories would turn out to be a little unresolved itself?

How did they turn the fabled '80s horror-story collection into a movie? By recreating its greatest hits, minus the creepiness that made them great.

Adaptation of popular 1980s kids-lit anthologies is a little hodgepodge - but it's also training-wheels horror done right.

Terrifyingly mediocre.

This is a movie that spent years in development as filmmakers worked to crack the code on how to bring the material to life, and that time has wonderfully paid off.