Certaines fonctionnalités sont temporairement indisponibles en raison d’une mise à niveau; retour à la normale sous peu. Merci de votre compréhension.
Arrête avec tes mensonges
Stéphane Belcourt n'est pas revenu dans la région où il a grandi depuis 35 ans. Le célèbre écrivain décide d'y retourner afin de parrainer le bicentenaire d'une populaire marque de cognac. Au fil des rencontres, il se lie d'amitié avec Lucas Andrieu, le fils de son premier amour. Un coup du hasard qui le replonge dans ses souvenirs encore vifs et douloureux. À l'adolescence, Stéphane était amoureux de Thomas. Ils avaient 17 ans. Mais en 1984, Thomas taisait cette passion dévorante. En revisitant le passé, peut-être que Stéphane comprendra mieux son ancien amant et que Lucas découvrira qui était réellement son père.
Distribution
- Guillaume de Tonquédec (Stéphane Belcourt)
- Victor Belmondo (Lucas Andrieu)
- Guilaine Londez (Gaëlle)
- Jérémy Gillet (Stéphane Belcourt (jeune))
- Julien De Saint Jean (Thomas Andrieu)
- Pierre-Alain Chapuis (M. Dejean)
Réalisation
Scénarisation
Production
Studio
- TS Productions
Distributeur
- Axia Films
Revues de presse
KinoCulture Montréal
Entre présent et retours en arrière, Arrête avec tes mensonges libère les fantômes de ses années d'adolescence où l'attirance réciproque ne s'assume pas de la même façon, mais reste gravée dans la mémoire.
Lire la critique complèteLe Soleil
À travers cette histoire filmée tout en délicatesse, porté par un tandem d'acteurs en parfaite adéquation, le réalisateur Olivier Peyon fait sien le combat pour le droit à la différence.
Lire la critique complèteLa Presse
Victor Belmondo, petit-fils de Jean-Paul Belmondo, est une vraie révélation dans ce film où il est excellent tout comme Guillaume de Tonquédec, dans le rôle de l'écrivain. Ce dernier ressemble d'ailleurs beaucoup à Philippe Besson. On sent la complicité de ces deux acteurs dans ce film sensible et émouvant.
Lire la critique complèteMédiafilm
Adaptation fidèle d'un best-seller de Philippe Besson, Arrête avec tes mensonges parvient à transposer la délicatesse du livre, mais sans en transmettre le feu. À l'instar de la mise en scène dénuée de personnalité d'Olivier Peyon, Guillaume de Tonquédec, en écrivain troublé, s'efface à force de réserve. Seul Victor Belmondo se démarque en jeune homme pas aussi lisse qu'il en a l'air.
Lire la critique complète