Yves Saint Laurent
v.o.f.s.-t.a. : Yves Saint Laurent
Quand il est hospitalisé pour soigner une maniaco-dépression, les dirigeants de la maison en profitent pour le congédier. Il trouve donc réconfort chez Pierre Bergé qui obtient le financement nécessaire afin que le jeune prodige fonde sa propre société. Malgré des premières années plus difficiles, le succès vient rapidement frapper à la porte d'Yves Saint Laurent. Mais avec la célébrité vient l'excès et souvent la drogue et l'alcool. Le designer sombre rapidement dans une déchéance que même Bergé, l'amour de sa vie, ne peut empêcher.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Wy Productions
- SND
- Cinéfrance 1888
- Hérodiade
- uMedia
distributeur
- Les Films Séville
Liens
Revues de presse
Médiafilm
S'appuyant sur une direction artistique éblouissante, la reconstitution d'époque est des plus crédibles et les défilés, agrémentés des robes d'origine créées par Saint Laurent, ajoutent au réalisme rétro de ce "biopic" aux lignes classiques.
Lire la critique complèteAgence QMI
Dans les rôles respectifs de Saint Laurent et de son amoureux et partenaire d'affaires Pierre Bergé, les deux acteurs se glissent avec une grande sensibilité et beaucoup d'abandon dans la peau de leurs personnages.
Lire la critique complèteVoir
Yves Saint Laurent mérite que l'on s'y attarde surtout pour saisir l'envers du décor, l'envers du talent de celui qui a révolutionné le monde de la mode moderne.
Lire la critique complèteSéquences
Si bien que le film se regarde comme on feuillette les pages d'un magazine sur la mode avec en prime le plaisir coupable d'un certain voyeurisme. Tout est beau et réussi mais froid et l'âme derrière le créateur disparaît.
Lire la critique complèteLa Presse
Soutenu par Pierre Bergé (contrairement au projet « rival »), Yves Saint Laurent est un drame biographique de facture classique, magnifié par la présence de deux interprètes d'exception.
Lire la critique complèteLe Parisien
Pour interpréter Yves Saint Laurent, Pierre Niney a donc fait bien mieux qu'entrer dans le costume du couturier : il s'est approprié sa voix et sa gestuelle.
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