Wonder Woman 1984

Cela dit, Gal Gadot endosse à nouveau avec aplomb et grâce le costume de Wonder Woman, toujours sous la direction vigoureuse de Patty Jenkins. Les effets spéciaux ont tendance à se répéter (beaucoup de lasso lumineux), mais la séquence d'ouverture est spectaculaire et enlevée.

Oui, on peut critiquer les clichés de Wonder Woman 1984, oui, on peut regretter que le film ne soit pas aussi fort que le premier malgré quelques éléments de sous-texte appréciables (contre le capitalisme, pour la vérité, etc.), mais on ne peut qu'apprécier le fait que la superhéroïne sauve le monde et nous entraîne dans un univers imaginaire qui fait diantrement du bien!

Pour ce qui est de Gal Gadot, on la trouve éteinte et effacée. L'actrice israélienne a certainement été dirigée ainsi, car oui, les êtres surpuissants peuvent aussi être déprimés. Toutefois, on peine à éprouver de l'empathie, car malgré ses intentions vertueuses, elle ne fait que véhiculer sa propre conception de la vérité - et celle d'un film qui insiste beaucoup sur la notion de mérite. 

(...) WW84 is everything it could have been and more.

There's still a lot to love.

The villainy represented here indeed feels Eighties: A dark riff on entrepreneurial self-help-y logic in its most bastard state.

[T]he sequel has a stronger, more original story that beautifully gets at the heart of what's important about the character...

Gal Gadot rocks shoulder pads and high-waist pants in retro follow-up to Patty Jenkins' 2017 blockbuster, which further boosting the Amazon hero's power to inspire.