Wilson

Daniel Clowes' graphic novel gets the indie-cutesy treatment – and a star who nails title character's misanthropic-prick personality.

Woody Harrelson plays an aging loner curmudgeon in a comedy based on a graphic novel by Daniel Clowes, the creator of 'Ghost World.' There are laughs, but the hipster factor is wearing thin.

Maybe it’s that an ace satirist, like maybe Alexander Payne, would have been needed to really make this work.

Even in this form, imperfectly rendered, he’s a beacon of discernment and desolation.

À l'image d'un film tout en surface, réalisé sans éclat ni effort d'imagination par un cinéaste dont l'ambition se résumait à convaincre Harrelson d'y participer.

Wilson est l'exemple parfait d'un long métrage qui s'annonce très bien sur papier, mais qui ne lève absolument pas.

S'ensuit une série de vignettes tantôt embarrassantes, tantôt saugrenues, où l'humour cède peu à peu le pas au drame. Par ailleurs, le film est platement mis en scène par Craig Johnson et le rythme tient difficilement la route.