Vivre à 100 milles à l'heure
Les amis Louis, Eric et Daniel sont trois jeunes téméraires qui, pour se faire de l'argent de poche, décident de vendre de la drogue. Rapidement, ils constatent le succès de leur entreprise. Ils se tournent alors vers des substances prohibées plus dangereuses, mais plus rentables. Malgré les embûches qui se dressent sur leur chemin, ils persistent dans cette voie, portés par les sensations fortes que leur procurent l'illégalité et l'excès. Ils vivent à 100 milles a l'heure et n'ont pas l'intention de ralentir, à moins bien sûr que la vie décide à leur place...
Distribution
- Rémi Goulet (Louis (18 ans et +))
- Antoine L'Écuyer (Daniel (18 ans et +))
- Félix-Antoine Cantin (Éric (18 ans et +))
- Sandrine Poirier-Allard (Nathalie (18 ans et +))
- Hubert Proulx (Jean-Claude)
- Ghislain Taschereau (Tex)
- Elijah Patrice-Baudelot (Louis (14 à 17 ans))
- Zakary Methot (Daniel (14 à 17 ans))
- Cassandra Latreille (Nathalie (13 à 16 ans))
- Maxime Dumontier (Pérusse)
- Benoit McGinnis (Tino)
- Dylan Walsh (Éric (14 à 17 ans))
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Lyla Films
distributeur
- Les Films Opale
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Chaque personnage est défendu par trois comédiens différents, une douzaine au total. Un défi d'unité vertigineux pour un directeur d'acteurs, que Bélanger relève sans aucune trace d'effort.
Lire la critique complèteLa Presse
La magie étant une chose très rare, force est de constater que Vivre à 100 milles à l'heure n'a pas la grâce de Gaz Bar Blues, auquel il sera inévitablement comparé.
Lire la critique complèteLe Soleil
Le cinéaste a eu du flair au casting. Il a fait appel à une galerie d'une dizaine de jeunes comédiens, tous plus inspirés les uns que les autres, pour interpréter les trois rôles masculins, à différents âges, ainsi que la fille du groupe, plus effacée, dont la présence permet d'ajouter un cachet sentimental au récit.
Lire la critique complèteCinéfilic
Alors, comme il a malgré tout du métier, l'ensemble se laisse voir si l'on n'est pas trop exigeant... Mais nous sommes loin des Mauvaises herbes. Quant à Gaz bar blues, n'en parlons pas!
Lire la critique complèteFilms du Québec
Avec ce sixième long métrage de fiction, Bélanger signe une oeuvre colorée, sans temps morts ni effets de manche qui se voit autant comme un récit d'apprentissage conventionnel qu'un polar de série B nostalgique.
Lire la critique complète