Vivre
v.o.a. : Living
Londres, 1953. Un fonctionnaire sans histoire voit sa vie chamboulée lorsqu'il apprend que son cancer a gagné du terrain, et qu'il n'a plus que quelques mois à vivre. Ayant depuis trop longtemps vécu une existence sans exaltation ni surprise ou chambardement, la nouvelle pousse le principal intéressé à revoir ses choix de vie sous un autre angle, et à se questionner sur la façon dont il doit profiter du temps qu'il lui reste, et le legs qui lui survivra. Il forme dès lors une amitié improbable avec une ancienne collègue de travail, qui devient pour lui une complice et une confidente.
Distribution
- Bill Nighy (Williams)
- Aimee Lou Wood (Margaret Harris)
- Alex Sharp (Peter Wakeling)
- Tom Burke (Sutherland)
- Adrian Rawlins (Middleton)
- Hubert Burton (Rusbridger)
- Michael Cochrane (Sir James)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- British Film Institute (BFI)
- County Hall
- Film i Väst
- Film4
- Filmgate Films
- Ingenious Media
- Ingenious
- Kurosawa Production Co.
- Lipsync Productions
- Number 9 Films
- Rocket Science
distributeur
- Métropole Films Distribution
Revues de presse
Médiafilm
La riche direction-photo de Jamie Ramsay et une trame sonore (un peu trop sirupeuse) émaillée de succès d'époque font contrepoint avec la mélancolie prenante qui imprègne le film. D'une sobriété extrême, Bill Nighy est bouleversant en homme qui apprend à vivre sur le tard.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Adaptation, par le scénariste Kazuo Ishiguro, du long métrage Ikiru d'Akira Kurosawa, lui-même inspiré d'une nouvelle de Léon Tolstoy, Vivre est une bien belle étude sur l'existence à l'approche de la mort et on y retrouvera, en plus triste, quelques-uns des thèmes de La vie selon Otto.
Lire la critique complèteLa Presse
De quoi rendre un peu moins glacial Living, dont la retenue est élevée au rang de vertu, et qui rappelle qu'un remake respectueux d'un classique demeure toujours possible.
Lire la critique complèteLe Soleil
L'acteur Bill Nighy impressionne dans le rôle d'un bureaucrate confronté à sa propre mort, réalisant du même coup qu'il n'a pas vraiment vécu.bopc
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
L'interprétation si subtile de l'habituellement plus exubérant Bill Nighy constitue l'épine dorsale de ce film.
Lire la critique complète