Excellent!
C'est à croire que moins ça se voit mieux c'est.
Encore un scénario québécois faible.
J’avais détesté le premier long-métrage de Guy Édouin «Marécages», alors j’espérais un meilleur film avec «Ville-Marie». Présenté comme un film répertoire celui-ci m’a également amèrement déçu. Le milieu médical occupe beaucoup de place dans ce film. Il y a bien des scènes d’amour, mais elles restent très froides: moi, les homos, je ne suis plus capable. Il y a une partie de la distribution constituée d’Européens: le réalisateur pensait probablement au marché européen comme débouché pour son film. Malheureusement, ceux-ci restent très froids alors que tous tournent autour d’un plateau de cinéma. Je n’ai jamais été un admirateur de Pascale Buissières. Vraiment, je n’aime pas le travail de ce réalisateur: c'est une question de goût.
une "Ouverture" fracassanste
…et dites leur que Fassbinder est de retour et que
Lana Turner inspire encore des cinéastes-poètes en
manque d’inspiration véritable « dans un jeu de miroir »
souligné par une trame-sonore impeccable des archives
musicales de la bibliothèque de la MGM