Victor Frankenstein

This sloppy origin story of the infamous surgeon can't seem decide whether or not to put tongue in cheek.

Only Radcliffe escapes unscathed, lending Igor a convincing psychology despite the ham-fistedness of the material. But he's not enough of a reason to resurrect this story again.

I suppose as a longtime fan of Universal monster movies and other forms of classic horror, as well as being, you know, an old man, I can be forgiven for having hoped that this newfangled origin story of a fabled monster maker would be something not entirely awful. 

Résultat: un film insolite et assez fascinant sur l'amitié et les dérives de la science, qui se distingue par sa grande densité narrative, mais aussi par l'abondance de ses dialogues.

Au bout du compte, Victor Frankenstein amalgame les genres (horreur, policier, romance, action, science-fiction), mais les coutures sont grossières et le résultat, aussi bancal que la démarche d'une certaine créature.

Malheureusement pour nous, le tout se corse à mi-chemin, alors que le filet de Scotland Yard se resserre et que Victor doit fuir en Écosse pour parvenir à donner la vie à un homme. L'intrigue devient, à ce moment-là, cousue de fil blanc tellement qu'on décroche aussitôt.

Le film, qui gravite constamment entre le drame et la comédie vaudevillesque nous laisse finalement perplexe. D'autant plus que les effets de mise en scène, empruntés aux Sherlock Holmes de Guy Ritchie (scènes d'actions improbables et ralenties à outrance) sont des plus décevants.