Venom : la dernière danse

A road trip fugitive movie which barely works as a road trip, or as a fugitive movie, or as a movie.

As you watch "The Last Dance," the film obliterates any distinction between shooting the works and jumping the shark and just saying, "WTF, let's do it!'

Hardy brings sufficient charm (and witty voice work) to his symbiote-inhabited character's internal battle between id and superego to make each entry diverting enough, even if they leave little aftertaste. And so it goes with Venom: The Last Dance, which caps the trilogy by going gleefully out on its own.

At least the trilogy is over.

Venom: The Last Dance is being teased as the end of the Spider-Verse trilogy, but after two underwhelming films, does it end on a high note?

Malheureusement, un peu comme monsieur Hardy lui-même, cette profondeur reste silencieuse vis-à-vis la tonitruance de toutes les autres visions qui se prêtent au film et des dialogues affreusement vides qui me donnaient parfois envie de me fracasser le crâne sur le siège devant moi.

En prenant la barre de Venom, la dernière danse à titre de réalisatrice, en plus de signer le scénario et d'avoir assuré la production du dernier long métrage de la trilogie, Kelly Marcel prouve qu'elle forme un duo de choc avec Tom Hardy et qu'à eux deux, ils maîtrisent parfaitement l'univers décalé de ce superhéros auquel le Britannique prête sa voix et ses mouvements. 

Dénouement inégal d'une trilogie consacrée à un antihéros de l'écurie Marvel Comics. Réalisation tapageuse et désordonnée. Insertion ingénieuse de chansons populaires. T. Hardy énergique et en voix.Voir la bande-annonceAjouter à ma listeOù voir ça