Vengeance silencieuse
v.o.a. : Silent Night
Les Godluck s'apprêtent à passer le plus beau des Noël. C'est à ce moment que survient une fusillade entre deux gangs et qu'une balle perdue tue le jeune garçon innocent de la famille. En pleine crise, papa se rue sur les assaillants et il se fait blesser au cou. À son réveil à l'hôpital, Brian a perdu l'usage de la voix. Malgré les soins de son épouse, il rumine un plan pour venger son fils. Il consacre tout son temps à s'entraîner, autant physiquement qu'avec des armes, tout en améliorant ses réflexes au volant. Puis il enquête sur les assassins, partageant ses informations avec un détective.
Distribution
- Yoko Hamamura (Ruiz)
- Vinny O'Brien (Anthony Barello Esq.)
- Harold Torres (Playa)
- Kid Cudi (Vassell)
- Catalina Sandino Moreno (Saya)
- Joel Kinnaman (Godlock)
Scénarisation
Production
Réalisation
Distributeur
- VVS Films
Studio
- Thunder Road Pictures
- Capstone Studios
- A Better Tomorrow Films
Revues de presse
KinoCulture Montréal
Très investi, ce dernier est convaincant en père de famille dévasté et ruiné par la perte tragique de son fils et il réussit à faire passer l'émotion sans l'usage de la parole.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Joel Kinnaman cherche à venger la mort de son fils dans ce Vengeance silencieuse de John Woo (Mission: Impossible 2), dont la particularité est d'être presque exempt de dialogues.
Lire la critique complèteLe Soleil
Outre quelques scènes au ralenti très réussies, qui font éclater le verre, exploser le feu et broyer la taule, Vengeance silencieuse s'avère fort décevant.
Lire la critique complèteLa Presse
John Woo, dont il s'agit du premier film américain depuis Paycheck, en 2003, est encore capable de grands moments d'action, mais doit choisir de meilleurs cadres pour les offrir. De plus, Silent Night manque de colombes.
Lire la critique complèteMédiafilm
Certes, l'ensemble ne brille pas par son originalité ou son intelligence et les acteurs n'arrivent jamais à transcender les stéréotypes qu'ils défendent. Mais force est d'admettre qu'un John Woo poussé au silence sait quand même faire parler ses images de manière on ne peut plus éloquente.
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