Une vie meilleure
v.o.f.s.-t.a. : Une vie meilleure
Pour Yann et Nadia, c'est le coup de foudre. Amoureux, ils décident au cours d'une promenade d'acheter un vieux bâtiment délabré afin d'ouvrir leur restaurant, en banlieue de Paris. Mais le financement est difficile à obtenir, et ils décident de contracter des prêts supplémentaires. Leurs salaires ne suffisent bientôt plus à payer les intérêts et Nadia doit partir pour Montréal afin de trouver du travail. Elle laisse à Yann la tâche de s'occuper de son fils Slimane pendant son absence. Yann essaie par tous les moyens de trouver de l'argent afin de la rejoindre, mais bientôt, elle disparaît sans donner de nouvelles.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Cinémaginaire inc.
- Les Films du Lendemain
- Maia Cinema
distributeur
- Alliance Vivafilm
Liens
Revues de presse
Médiafilm
La réalisation vigoureuse et expressive de Cédric Kahn met en valeur le jeu à fleur de peau de Guillaume Canet, la sensibilité de Leïla Bekhti et la vulnérabilité du petit Slimane Khattabi.
Lire la critique complèteLa Presse
Même si le récit est parfois un peu cahoteux dans le rythme et semble aussi tourner sur lui-même par moments, Une vie meilleure tend un miroir réaliste dans lequel se reflètent les drames quotidiens de ceux que le « système » laisse tomber.
Lire la critique complèteThe Gazette
And that's where the problems begin, both for Yann and for the movie. For Yann, it's really tough. For the film, the problems aren't perhaps as tragic, but they're serious nonetheless.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Dommage seulement que le tout tire parfois en longueurs et que certains revirements difficiles à croire viennent parfois miner la crédibilité du récit...
Lire la critique complèteLecinema.ca
Une vie meilleure de Cédric Kahn est un récit pas toujours crédible mais pertinent sur la crise de l'endettement qui sévit actuellement.
Lire la critique complèteVoir
Si ce prenant et mélancolique portrait d'homme à la recherche de dignité est raconté avec tact et sensibilité, le récit s'en trouve toutefois ralenti, voire alourdi, et frôle de près l'anecdotique. Échappant à l'envie de nous faire la leçon, Kahn propose une conclusion ouverte légèrement teintée d'espoir.
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