Réalisation

Production

Scénarisation

studios

  • Captain Movies
  • Eskwad
  • SPAD Films

distributeur

  • Remstar

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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Avec ses développements mécaniques, le scénario de cette production artificielle transpire la ringardise. Il faut dire que James Huth (SERIAL LOVER, BRICE DE NICE) n'est pas Blake Edwards. Et que les sympathiques Gad Elmaleh et Sophie Marceau ne sont pas toujours à l'aise. Abonné aux rôles de crapules, François Berléand les éclipse tous les deux.

Médiafilm Lire la critique complète

Télérama

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Mais cette comédie doit aussi être romantique. Un problème, car les sentiments coupent net l'élan de James Huth. Son couple explosif ne produit, dans ce domaine, aucune étincelle. Au point de faire resurgir tous les artifices, de situations et de distribution.

Frédéric Strauss Lire la critique complète

Voir

Mauvais
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Il serait injuste de qualifier de médiocre ce divertissement, mais avec cette approche hyper prévisible, l'humour tombe allègrement dans la facilité. De fait, les gags visuels, souvent inspirés du slapstick, découragent plus qu'ils n'amusent.

Alexandre Duguay Lire la critique complète

The Gazette

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Do you think there's a happy ending? Oh, I can't tell you. You'll just have to see the movie — when it turns up on cable in a few months.

Brendan Kelly Lire la critique complète

La Presse

Très bon
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Un bonheur n'arrive jamais seul ne raflera pas de prestigieux prix, mais il a le mérite de faire rire de bon coeur. Le couple Marceau-Elmaleh séduit et reste crédible, contre toute attente.

Stéphanie Vallet Lire la critique complète

Le Parisien

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Les personnages se gamellent à qui mieux mieux pour nous faire croire à une cascade de gags. Las, cette propension à tomber laisse entrevoir la dure réalité : le film est au fur et à mesure bien parti pour se ramasser. Le scénario est construit au marteau-piqueur. La bande-son aussi. Un brin de petite culotte entraperçu — celle de Mademoiselle Marceau — veut donner l'illusion que tout ceci a du corps. Les dialogues sont plus convenus qu'une discussion sur la météo au Café du Commerce. Et comble du comble, la chute est tellement attendue qu'elle en est totalement ratée. Z'Huth alors!

Pierre Vavasseur Lire la critique complète

Le Nouvel Obs

Minable
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Il transforme Sophie Marceau en Pierre Richard maladroit, se souvient que Gad Elmaleh fut mime mais bute sur des questions de rythme et oublie de soigner l’entourage de son couple (qui malgré tout fonctionne bien). Du coup, une heure cinquante, c’est un peu long, surtout vers la fin.

Sophie Grassin Lire la critique complète

Le Point

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Dans Un bonheur n'arrive jamais seul, James Huth (Brice de Nice, Serial Lover) respecte les règles immuables de la comédie romantique, orchestre la lutte de ses personnages contre les contingences ennemies et, surtout, met en scène la rencontre sur l'écran de deux figures ultra-populaires du cinéma français : Sophie Marceau et Gad Elmaleh. Ce dernier aspect constitue la réelle raison d'être du film qui, malgré quelques scènes efficaces et la conviction de son actrice principale, souffre de sa faiblesse scénaristique et de son absence de subtilité. Dommage.

Olivier De Bruyn Lire la critique complète

Le Monde

Acceptable
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L'ensemble, qui semble plus sûrement chroniquer les moeurs du show business que d'une quelconque réalité contemporaine, résonne comme un faux accord dans l'époque qui est la nôtre.

Jacques Mandelbaum Lire la critique complète