Tuktuq
v.o.f.s.-t.f. : Tuktuq
C'est l'appel du Nord pour Martin Brodeur. Le caméraman a été choisi par le gouvernement en place afin de tourner des images d'archives du Nunavik. Pendant ses temps libres, il en profite pour chasser et se rapprocher d'une famille inuit qui l'initie à leurs moeurs et coutumes. Ce voyage lui permet également de philosopher sur ses choix de vie et de se remettre en question. S'il n'est pas au téléphone avec son ancienne copine, c'est pour mieux tenter de joindre un sous-ministre qui lui annonce peu à peu son plan d'action pour cet endroit.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Lynx Films
distributeur
- K-Films Amérique
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Adoptant un rythme contemplatif qui induit une ambiance poétique, le film est composé d'images majestueuses, éloquentes et admirablement composées.
Lire la critique complèteSéquences
Robin Aubert, on le sait, est aussi bien grand comédien que grand réalisateur ; ici il fait ce double travail.
Lire la critique complèteLa Presse
Finalement, Tuktuq se révèle être un film non pas tant sur les Inuits que sur la naissance d'une conscience, qui nous ouvre à nous aussi les yeux. Ça ne fera pas courir les foules au cinéma, on s'en doute, et c'est dommage, car Tuktuq est une réussite bouleversante.
Lire la critique complèteAgence QMI
Ce choix imprime au film de 94 minutes une poésie majestueuse et un rythme naturel, organique.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Outre sa réussite formelle, germée dans un récit plus contemplatif que celui ajusté à la fureur indienne de À quelle heure le train pour nulle part, Tuktuq (qui veut dire caribou en Inuktitut) est tout en méditation, en reprise de contrôle progressif au contact d'un peuple ô combien fragile.
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