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Tu veux ou tu veux pas?
Ayant longtemps été aux prises avec un problème de dépendance sexuelle et affective, Lambert est parvenu à demeurer abstinent durant presque une année entière. Sa discipline et sa volonté de fer sont toutefois mises à l'épreuve lorsque Judith se présente à son bureau pour devenir son assistante. L'ancien pilote de ligne s'étant paradoxalement recyclé dans la thérapie de couple est aussitôt séduit par Judith, qui accumule elle-même les aventures d'un soir à un rythme effarant. Si l'attirance mutuelle est indéniable, Lambert est bien déterminé à résister aux avances de sa nouvelle collègue, désirant bâtir sa prochaine relation sur des bases un peu plus solides.
Distribution
Réalisation
Scénarisation
Production
Studio
- Cinéfrance 1888
- Entre Chien et Loup
Distributeur
- Remstar
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Attachants malgré un niveau de jeu un peu caricatural, Patrick Bruel et Sophie Marceau nous guident dans un dédale sans surprise vers un dénouement un peu escamoté, mais ô combien attendu.
Lire la critique complèteLa Presse
Bien que bonne actrice, Sophie Marceau finit par lasser dans la peau de ce personnage trop lisse de croqueuse d'hommes. Patrick Bruel ne fait pas non plus d'étincelles dans un scénario trop léger et cousu de fil blanc. Aucun d'entre eux ne vous fera grimper aux rideaux!
Lire la critique complèteLe Devoir
Pis encore, son récit télégraphié s'encombre de tant de scènes de thérapie tournant à vide que le tout s'apparente à un film à sketchs qui cherche son souffle et ne le trouve jamais. Et lorsqu'elle convie le spectateur à découvrir la psyché de la protagoniste à travers des scènes fantaisistes, là, tout s'écroule.
Lire la critique complèteCinémaniak.net
Certes, c'est parfois un peu mou et ça ne réinvente pas la roue mais cela permettra toutefois de passer un bon moment.
Lire la critique complèteLe Soleil
Le comble, c'est qu'il ne se dégage aucune sensualité de Tu veux ou tu veux pas?, même si Sophie Marceau multiplie les efforts (et les moues), au point de trop en faire - on n'y croit pas à cette dragueuse en série. Filmer ses décolletés vertigineux ou son cul lorsqu'elle se penche manque cruellement d'imagination de la part d'une réalisatrice.
Lire la critique complète