The Son

Reste que le film appartient à Hugh Jackman, totalement investi dans son rôle de gagnant confronté à une brutale remise en question de ses compétences parentales. Surtout après une rencontre abrasive avec son propre père, campé de manière magistrale par Anthony Hopkins, oscarisé pour The Father.

Even still, I found The Son to be a moving film, and while the conclusion is upsetting, it's supposed to be, with a final line uttered over and over by Kirby's character that I found haunting but true.

Le scénario de Zeller est non seulement d'une criante actualité (en abordant la question de la dépression et de la santé mentale), mais sa grande force réside aussi dans les nuances qu'il charrie.

Ce déséquilibre est renforcé par les ficelles scénaristiques un peu grosses, par le mélodramatique forcé - la fin notamment - qui amoindrit des scènes magistrales de force et d'émotion - celle avec les psychiatres notamment est inoubliable. Mais que cela ne fasse pas oublier le principal: il faut parler et écouter ceux qui souffrent. Et il ne faut jamais avoir peur ou honte de demander de l'aide.

Director Florian Zeller once again explores mental illness in a bolder, less focused follow-up to The Father.

Les circonstances imprévisibles sont plus du côté père-fils qu'ailleurs. Florian Zeller, qui dédie le film à son fils Gabriel,  n'a de cesse avec les rouages de la paternité, exercice déontologique, pédagogique, qui peut durer, dans de nombreux cas, toute une vie.