Réalisation

Scénarisation

studios

  • Trinity Works Entertainment
  • Sigma Films

distributeur

  • TVA Films

Bande-annonce & Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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Éparpillée, truffée d'effets de style maniérés, la mise en scène de Carlyle peine de son côté à établir une véritable tension dramatique. Et dans son jeu, ce dernier force trop la note, tout comme Ashley Jensen en policière toujours prête à agresser son subalterne, incarné par un Ray Winstone sanguin mais plus nuancé. 

Louis-Paul Rioux Lire la critique complète

Agence QMI

Acceptable
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Difficile de saisir toutes les subtilités d'un humour régional quand on n'est pas familier avec la culture. Ce serait comme de demander aux Écossais d'apprécier tout le sel de l'humour québécois.

Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complète

Cinéfilic

Pauvre
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Porté par une narration redondante qui fatigue avant la fin, The Legend of Barney Thomson est une tentative de Robert Carlyle de donner un second souffle cinématographique à sa carrière. Ce serait surprenant que cela fonctionne: son effort est si inégal et soucieux d'être «politiquement incorrect» que sa fadeur finit par ressortir au grand jour.

Martin Gignac Lire la critique complète

Séquences

Pauvre
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Par bonheur, la grande Emma Thomson rayonne dans le rôle de Cemolina, la mère vulgaire du coiffeur devenu meurtrier malgré lui. Tous les plans où elle figure - vêtue d'un manteau de léopard synthétique du plus bel effet - apportent un côté tragiquement absurde et typiquement british aux déboires de ces paumés de première. Ce n'est hélas pas suffisant pour faire oublier la prévisibilité et le manque de rythme de l'intrigue.

Charles-Henri Ramond Lire la critique complète

The Hollywood Reporter

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(...) Carlyle struggles to cope with not only taking on two prominent jobs in the same movie — as a director, he doesn't leave much of a distinctive or original stamp — but also electing to tackle a genre which can outfox relative veterans.

Neil Young Lire la critique complète