Le Hobbit : Un voyage inattendu
v.o.a. : The Hobbit: An Unexpected Journey
Bilbon Sacquet mène une existence paisible dans sa maison, jusqu'à ce que le magicien Gandalf vienne le chercher pour qu'il prenne part à une aventure avec un groupe de nains. Ces derniers veulent reconquérir leur royaume, détruit par le terrible dragon cracheur de feu Smaug, qui habite toujours les lieux, planqué sous des milliers de pièces d'or. Ils devront affronter des orques, des gobelins, des trolls, traverser des ravins en sillonnant le flanc des montages, sympathiser avec les Elfes, leurs ennemis, et affronter des forces maléfiques pour enfin entrevoir la Montagne Solitaire, le sens de leur quête.
Cinoche.com
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Metro-Goldwyn-Mayer (MGM)
- New Line Cinema
- WingNut Films
distributeur
- Warner Bros. Canada
Revues de presse
Médiafilm
Le tournage en 48 images/seconde, le double de la vitesse habituelle, confère également une définition inégalée aux dites images, jamais floues malgré les brusques mouvements de caméra. Une fois de plus, Andy Serkis en pathétique Gollum vole la vedette aux autres interprètes, dont le jeu offre pourtant le mélange souhaité de gravité et de drôlerie.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complèteCinema Blend
But for its occasional moments of excess and unhurried pace, An Unexpected Journey is proof that Jackson still has a knack for stories in this world, and that he may have more surprises in store as the rest of this new, unexpected trilogy unfolds.
Katey Rich Lire la critique complèteJoblo.com
Being that it's The Hobbit and not LOTR, don't expect the same ultra-epic battle of good versus evil, as this is a far more lighthearted romp. Still - it's a ton of fun, and I'm certainly looking forward to the next two installments.
Chris Bumbray Lire la critique complèteJoblo.com
Freeman's Bilbo is a bit of a problem, at least at first. Like the character, Freeman sometimes seems to be trying too hard, and his overly emphatic puzzlement and exasperation frequently comes off like shtick in a BBC sitcom; he's very much a frazzled Brit throughout, even though everyone else is, you know, dwarves and wizards and such.
Eric Walkuski Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Redondante, l'aventure de The Hobbit débutera d'autant plus sur une note beaucoup plus laborieuse étant donnée l'absence d'un réel sentiment d'urgence au moment où la communauté partira lentement affronter son destin. Spectacle distrayant malgré tout, An Unexpected Journey demeure un parcours en dents de scie proposé par un Peter Jackson s'étant visiblement assis sur ses lauriers.
Jean-François Vandeuren Lire la critique complèteJoblo.com
In the end - or shall I say the beginning - The Hobbit: An Unexpected Journey is a visual feast with whimsy and charm.
Jimmy O Lire la critique complèteRolling Stone
What saves the day is the spidery, schizoid Gollum, again performed by the great Andy Serkis through the craft of motion capture.
Peter Travers Lire la critique complèteAgence QMI
Pour les adeptes du Seigneur des anneaux, Le Hobbit : un voyage inattendu ne décevra pas puisque c'est un film d'aventure dans le sillage de la précédente trilogie. Pour ceux qui, au contraire, cherchaient quelque chose de différent, le ton plus léger de ce film sera certainement apprécié.
Jim Slotek Lire la critique complèteCinéfilic
Bien sûr, les décors sont magnifiques, mais à part ça, nous ne retiendrons rien d'exceptionnel. Le film n'est en effet qu'une alternance de scènes dialoguées interminables et trop explicatives et de scènes d'actions brèves (mais généralement bien fichues, avouons-le) ponctuées de petites touches comiques pas drôles.
Jean-Marie Lanlo Lire la critique complèteLa Presse
Bref, le voyage est familier, sympathique. Un apéritif plus que prometteur pour la suite des choses. Laquelle, comme le savent les initiés, va se corser et s'assombrir terriblement.
Sonia Sarfati Lire la critique complèteThe Hollywood Reporter
More is less in Peter Jackson's gargantuan first installment of his second J.R.R. Tolkien trilogy.
Todd McCarthy Lire la critique complète