Terri
Terri aimerait bien quitter l'âge ingrat. Il se trouve différent des autres, étant plus gros et plus grand que les jeunes de son âge. Habitant seul avec son oncle, il a une fascination pour les rats morts. À l'école, il est la risée de ses camarades de classe. Puisqu'il arrive constamment en retard à ses cours, son enseignante décide de l'envoyer chez le directeur. Au fil des rencontres avec Monsieur Fitzgerald, l'adolescent se révèle. Peut-être pourront-ils même être amis. Cette nouvelle complicité le motive à aborder les autres et à se faire confiance.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Verisimilitude
- Silverwood Films
distributeur
- Métropole Films Distribution
Revues de presse
Médiafilm
S'il provoque quelques baisses de régime, son parti pris sobre et intimiste apporte en revanche beaucoup d'authenticité à un récit anti-spectaculaire, rempli d'espoir, et très bien défendu par ses interprètes.
Lire la critique complèteThe Gazette
Imagine the white-boy version of Precious, as written by someone with an Alexander Payne fixation, and you can get a handle on the quirk-fest called Terri.
Lire la critique complèteLecinema.ca
Chronique d'une adolescence difficile, Terri alterne entre le drame et la comédie, entre la profondeur et la superficialité. De nombreux thèmes importants se retrouvent au sein de ce film qui n'arrive pas à aller au bout de son sujet.
Lire la critique complèteVoir
Terri s'annonce comme une cruelle et insoutenable illustration de l'adolescence qui, heureusement, se transforme peu à peu en sombre comédie de moeurs au dur réalisme teinté d'insolite. En directeur d'école aux méthodes discutables, John C. Reilly offre un peu de répit dans ce misérabilisme parfois lourd.
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