Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
Terminator. 4
Très. Très bon film
Terminator Salvation
J'adore ce film. D'habitude je n'aime pas les films de science fiction mais celui là, j'ai adoré!
super
vrm bon le meilleur terminator
Terminator Rédemption
Terminator Renaissance attendu comme le film pouvant redonner toutes les lettres de noblesses à une saga plombée par le troisième opus complètement raté et on avait d’autant plus peur lorsque l’on a appris que McG était au commande, rappelons que ce réalisateur est connu pour être le papa des deux Charlie’s Angels, blockbusters qui ne le prédisposaient pas particulièrement à s’attaquer à l’univers de James Cameron. Mais les premières images ainsi que la première bande annonce annonçait de quoi faire plaisir aux plus grand fans et faire naitre les rêves les plus fous du aussi bien par le casting assez prometteur mais par aussi un univers assez chiadé. Mais à l’arrivée bien que le résultat soit tout à fait honorable, le résultat est un peu décevant par rapport à ce que l’on attendait, ce dernier s’impose comme un divertissement honnête mais sans plus, n’étant ni un chef d’œuvre, ni un bide monumental que nous avait offert le troisième volet.
On regrette que cette réalisation ne soit pas mieux travailler sur le thème de la réalisation, qui est ici dénué d’intensité, sans doute du à un manque d’originalité et d’inspiration donnant de temps en temps l’impression d’assister à un bon téléfilm diffusable sur nrj12 qu’un pure film de cinéma. Ce qui est d’autant plus rageant vu la travail qui a été fournit dans le cadre narratif et le style visuel admirable pour l’ensemble du film, dommage que tout ce bel univers, superbement fait soit sous-exploité par un McG qui aurait sans doute du demander conseil au maitre Cameron, le décor qui lui est offert permet d’ancrer l’histoire post-apocalyptique dans sur une terre morte, mais il oublie parfois de le filmer alors que ce dernier n’hésite pas à citer La route de Cormac McCarthy (dont ion peut voir l’excellente interprétation faite par Viggo Mortensen. Mais on reconnait aussi les lacunes niveau narratif, déjà que certains fans ont du fermer les yeux sur le fait que Jonathan Mostrow qui avait le gout de ne pas toucher à ce présupposé qui faisait du futur une menace d’autant plus inquiétante, celle-ci étant mise hors champ, le spectateur se devait de comprendre. Mais mal à pris au studio Columbia Pictures que leur nouvelle vision ne glace pas véritablement d’effroi, les différents robots, même en étant beau physiquement (dans le sens esthétique de la réalisation) n’ont pas la beauté froide et magnétique des T-800 et T-1000 des précédents films. On regrette aussi que l’image ne soit pas autant travaillé, faisant penser au catastrophique travail de Robert Fraisse pour le film Stalingrad de Jean-Jacques Annaud, on n’arrive donc jamais à avoir une image propre, se situant jamais très loin des plates copies de S-F comme Matrix, comme la base de l’état-major se situant dans un sous marin, hommage aussi à la guerre des mondes, avec le gigantesque Harvester qui se charge de récupérer les humains survivants, ou encore les vaisseaux de chasses poursuivant les ennemis dans le canyon: référence à Independance Day. Bref, on est un peu loin de la saga initié par Cameron, qui elle était à la pointe de la S-F, le nouveau volt se retrouve donc un peu à la traine. Pour preuve, Terminator Renaissance ne comptait pas les différentes reprise de l’autoréférence «I’ll be back» lâché par un Christian Bale peut en formant et se la jouant un peu trop. Mélancolie sans doute, pour combler le vide d’une suite inutile. Le scénario écrit à quatre mains par ceux déjà responsable de Terminator 3, propose une des dramaturgies les plus riches de la SF, bien que celui-ci échoue à susciter la moindre émotion, présentant les héros sans âmes, ni cœur. McG ébauche des personnages qui ont du vécu mais oublie des les faire vivre, un peu consternant lorsque l’on prétend parler d’humanité. Ce Terminator reste donc un concentré d’idée passionnante qui ne va malheureusement pas au delà de ce que l’on a déjà vu dans la bande annonce, le film expédie ces thématiques (que se soit pour les tourments existentiels de Marcus Wright , ou du face à face très attendu entre Connor et Wright, il manque au moins une bonne demi-heure de film, tout comme les dialogues, résumé un peu simplement, les acteurs en souffrent alors qu’ils essayent tant bien que mal de se sortir du lot, au final cela se révèlera décevant ou insuffisant, mis à part Sam Worthington qui réussit à tirer quelques élans sympathiques et son idylle avec Blair est assez pathétique. On se demande s’il n’aurait pas été plus judicieux que les deux acteurs inverses leurs rôles, Bale aurait apporté plus de tripes aux tourments de Marcus, alors que me second (Worthigton) aurait fait un Connor moins dur et se rapprochant ainsi du personnage de Edward Furlong dans Terminator 2.
On note tout de même que les effets visuels du film ont été à la hauteur, bien que celles-ci ne soient pas égales pour toutes les scènes du film, les quelques faiblesses d’effets spéciaux sur le plan mineurs (telles que les incrustations bâclées) s’avèrent ainsi largement compensées par la scène de l’attaque de la station service amplement réussite (offrant quelques plans démentiels de mouvement)L’effet visuel le plus réussit restant l’apparitions surprise (ou non) de Schwarzenegger, on e doute pas une seconde que McG connaissait l’univers de Cameron sur le bout des doigts, le film fourmillant de clins d’œil ou de références assez habillement dans l’ensemble amenés, mais réussir et remplir à la lettre les conditions pour faire un bons blockbuster n’est plus chose facile de nos jours si on s’appelle J.J Abrams, il n’y a donc pas de quoi de mettre en danger les deux premiers œuvres de Cameron. Ce nouvel opus se révèle donc décevant mais on en demandait peut être trop.