Surveillance parentale

Scénario superficiel au message passéiste, Humour ringard, réalisation digne d'une sitcom, le bilan est accablant.

C'est cousu de fil blanc, évidemment, tellement les grands-parents arriveront en quelques jours à régler tous les problèmes de la famille. Mais il se dégage de ce film un réel désir d'établir un pont entre les générations, et une joie de vivre, tout simplement.

Alors certes, Surveillance parentale n'a rien d'un grand film dont on se rappellera dans quelques semaines (voire jours). En même temps, on ne peut absolument pas reprocher à Andy Fickman d'avoir eu la prétention de livrer autre chose que ce qui est proposé : du bon vieux divertissement familial, léger, émouvant, hautement prévisible, mais qu'il fait bon regarder en famille.

Malheureusement, celle-ci, venant d'un tâcheron de la réalisation et de deux scénaristes peu inspirés si l'on se fie déjà à leurs précédents travaux, offre un enrobage de jeux de mots peu drôles, de situations convenues sur l'alimentation et ses suites à une remise en question des liens familiaux qui tourne bien entendu court.

When Parental Guidance works, it lets the natural charm of Crystal and his cohorts come through. It lets them be funny and interact like real human beings. When it doesn't, it contrives idiotic scenarios involving places like the X Games and the symphony to turn everyone into caricatures in an attempt to manufacture tired laughs.

Either way it is hard to care about any of them simply because this flick is so desperate to be hip that it ultimately feels as relevant as “Mr. Belvedere”... If you have to ask what that is, then you probably won't enjoy this movie.

It's Grandparenthood, as Billy Crystal and Bette Midler do their best to keep this generic family comedy aloft.

More often cloying than funny, the finished film is simply too sugar-coated for its own good.