Super-héros malgré lui
Cédric est un comédien qui tente, tant bien que mal, de faire sa place dans l'industrie. Alors que les choses vont plus ou moins bien pour lui, il décroche enfin le premier rôle qui, espère-t-il, lui permettra de percer, celui d'un superhéros. Un soir, il décide d'emprunter une voiture sur le plateau de tournage, mais est victime d'un accident, lui faisant perdre du coup la mémoire. Lorsqu'il se réveille, habillé en superhéros, entouré d'accessoires du film, il croira réellement être celui qu'il incarne au cinéma. Mais sa nouvelle vie de superhéros pourrait être beaucoup plus compliquée qu'il ne se l'imagine.
Distribution
- Philippe Lacheau (Cédric / Badman)
- Julien Arruti (Seb)
- Élodie Fontan (Éléonore)
- Jean-Hugues Anglade (Michel Dugimont)
- Tarek Boudali (Adam)
- Alice Dufour (Laure)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Cinéfrance Studios
- Baf Prod
distributeur
- TVA Films
Revues de presse
Médiafilm
Philippe Lacheau se lance dans la parodie des héros de Marvel et de DC Comics. Une chose est sûre: l'acteur et réalisateur français n'est pas friand d'humour subtil et de gags raffinés.
Lire la critique complèteLe Figaro
Sur cette trame mince, s'enchaînent des gags potaches qui confinent souvent au vulgaire.
Lire la critique complèteLe Nouvel Obs
Une paresseuse comédie de quiproquos, égocentrique (Lacheau est de tous les plans), sale gosse au mauvais sens du terme et ratant systématiquement sa cible.
Lire la critique complèteLe Monde
De l'action, de l'humour, de la parodie. De l'esprit d'enfance, en un mot, distillé, pour le meilleur et pour le pire, à jet tendu.
Lire la critique complèteLa voix du nord
Avec son scénario à la truelle et ses sous-intrigues venues d'ailleurs, Super-héros malgré lui ne touche au but que grâce à la générosité dont il fait montre. Un gag ou une punchline toutes les trente secondes, visant sous la ceinture, ciblant le burlesque, osant l'action.
Lire la critique complèteÉcran Large
Un régal de blagues bourrines, de comique de situation et de contagieuse débilité, limités par la laideur de plusieurs scènes.
Lire la critique complèteLe Parisien
Une fois qu'on est entré dans le délire, on n'en sort plus, jusqu'aux gags pyrotechniques -vous verrez pourquoi l'adjectif est un peu déplacé- très osés mais carrément hilarants du bouquet final.
Lire la critique complète