Stand Up Guys
Vingt-huit ans après avoir fait son entrée en prison, Val, un ancien tueur à gages, est finalement remis en liberté par les autorités. À sa sortie, Doc, son vieux compagnon d'affaires, est là pour l'accueillir. Ensemble, les deux hommes se remémorent le temps qu'ils ont passé ensemble et se promènent aux quatre coins de la ville, comme deux loups solitaires. Bientôt, Val comprend que Doc a reçu le mandat de l'exécuter afin qu'il puisse racheter définitivement ses dettes du passé. Cette nuit sur terre sera sa dernière, à moins, évidemment, qu'il réussisse à rappeler à la mémoire de son camarade la véritable portée de leur amitié.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Lakeshore Entertainment
- Sidney Kimmel Entertainment
distributeur
- Les Films Séville
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Un beau trio d'acteurs vétérans (Pacino, Walken, Arkin) siffle en coeur un air connu dans cette comédie noire qui balance entre le très bon et le moins pire, le fin et le vulgaire, avec à l'arrière-plan l'ombre fugace de Scorsese et Tarantino.
Lire la critique complèteThe Los Angeles Times
Stand Up Guys, vous l'aurez deviné, n'a strictement rien du grand film. Au mieux, il s'agit d'un petit divertissement sympathique qui, sans ses têtes d'affiche, ne présenterait aucun intérêt.
Lire la critique complèteRolling Stone
Some actors don't need top-shelf material. Just the pleasure of their company is enough. And so Al Pacino, Christopher Walken and Alan Arkin turn the insubstantial Stand Up Guys into solid entertainment.
Lire la critique complèteCinéfilic
Autant le dire tout de suite, Stand Up Guys n'est pas toujours très bien fichu (la poursuite en voiture est poussive, la fusillade finale laborieuse) et rarement crédible... mais tout cela n'a absolument aucune importance.
Lire la critique complèteAgence QMI
La bien faible intrigue de Stand Up Guys ne mène nulle part (au contraire du rigolo et rythmé Seven Psychopaths) et on ne reste devant l'écran que pour profiter de la présence des trois comédiens iconiques. Mais est-ce assez?
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