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Sous. Pression.
Très bon film
Mitigé
«Sous Pression» est un bon divertissement, mais certainement pas un film qui restera marqué dans les esprits. Film qui ressemble à une version moderne et sous-marine de «Alien». Pour faire monter le stress, ce film est bon. Pour nous satisfaire de l'oeuvre qu'on vient de voir, un peu moins. Certes, le film est épeurant, même moi qui suit un habitué de films d'horreur, je me suis surpris à vouloir quelques fois me cacher les yeux. Mais, au delà du fait que Sous Pression soit épeurant, qu'il ait de bons acteurs et que l'hommage évident à Alien soit réussit, il n'y a pas grand chose de plus à dire. J'aurais aimé voir un peu plus d'action, un peu plus d'histoire, de lumière, et de développement des personnages. Ce long-métrage de 20th Century Studios reste tout de même acceptable, mais on peut s'en passer. Ce n'est assurément pas un «must». Bref, bon divertissement, avec un potentiel assez grand mais en partie gâché.
(PS: attendez-vous à entendre un mix de doublage québécois et de doublage français, vu que le studio 20th a été racheté par Disney, qui sont experts dans ce domaine)
Trop d'attente
On aurait pu voir mieux
claustrophobe s abstenir
bon film vu les mauvaises critiqques lues. bon moment de cinéma.
Bon potentiel mais on ne voit rien
Le film a un bon potentiel. L'histoire aurait pu être palpitante. Mais moi, j'ai trouvé que les effets spéciaux laissaient à désirer. Quand il y avait des scènes avec les monstres marins, la plupart du temps, on ne voyait strictement rien.
Mais l'histoire était bonne. Avec de meilleurs effets visuels, ça aurait pu être un bon film.
Dans le noir.
Dans l’espace, personne ne vous entend crier. Telle pourrait être la tagline de « Underwater » à l’instar du culte « Alien » mais avec les abysses plutôt que l’espace. A la vision de ce long-métrage, il est en effet impossible de ne pas penser au film culte de Ridley Scott et à ses suites, dont l’une est réalisée par James Cameron. Ce dernier étant aussi à l’œuvre sur un autre film culte, « Abyss » auquel ce « Underwater » fait encore plus penser. La boucle est bouclée. A cela ajoutons une petite dose de « Pacific Rim » pour les créatures et la base du scénario. Des références écrasantes auxquelles le long-métrage en présence ici fait irrémédiablement penser et qu’il ne tente pas de surpasser, ni même d’égaler, mais auxquels il fait quelques clins d’œil. Il faut donc ne pas tenter de comparer et voir le film pour ce qu’il est : une honnête petite série B inspirée par d’illustres modèles.
Une petite série B qui démarre très fort en présentant succinctement son personnage principal et en nous plongeant – c’est le cas de le dire – directement dans le vif du sujet. Aucun répit, on est directement en immersion avec un quart d’heure d’ouverture de haute volée qui présente l’enjeu (survivre après une explosion en trouvant un moyen de remonter à la surface en dépit d’une présence hostile) et fait saliver pour la suite. C’est une ouverture admirable au niveau du rythme et de la tension, donnant à « Underwater » une ambiance anxiogène en phase avec le sujet. Malheureusement cela retombe vite dans la seconde moitié d’un film plutôt, et astucieusement, court. Pas que ce soit raté, mais tout rentre vite dans le rang et surtout dans une certaine banalité propre à ce sous-genre qu’est le film de monstres en milieu confiné. A ce titre, il y a deux ans, « Life, origine inconnue » était bien plus réussi et halentant, ne nous laissant aucune seconde de répit.
Le problème de « Underwater » est que les différentes étapes dans la progression spatiale des personnages sont balisées et que les fonds marins ici exploités obligent à une image sombre dès que les protagonistes sont dans l’eau. Une obscurité angoissante au début mais qui devient vite fatigante car on n’y voit pas grand-chose, tout cela étant parfois même flou. Heureusement, la toute fin rehausse le niveau en nous laissant une bonne impression. Car sinon, rien de bien folichon au niveau des dialogues très basiques, ni de la caractérisation des personnages, vraiment limitée. Et le quota dit comique avec le personnage de T.J. Miller est raté voire énervant. Mais Kristen Stewart en impose en succédané de la Sigourney Weaver des « Alien » et prouve après le remake de « Charlie,s Angels » qu’elle est aussi à l’aise dans les blockbusters que dans les films d’auteur, comme son partenaire de « Twilight », Robert Pattinson. Deux suites de carrière bien négociées et admirables. En revanche, Vincent Cassel est transparent. Sinon louons le design réussi et effrayant des créatures, notamment de l’impressionnant monstre final; dommage qu’on les voit si peu et si mal. Une petite série B sympathique quoiqu’oubliable qui ne mérite pas les mauvais retours critiques entendus un peu partout.
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