Sourire 2

Suite anxiogène et plutôt réussie d'un succès de 2022. Rebondissements inattendus. Propos un peu court. Réalisation parfois ostentatoire. N. Scott convaincante.

Smile 2 is more of the same. A lot more. But it's just as scary, and this time it's feistier and funnier, proving that the premise has legs and also some malleability.

La saga horrifique Sourire se dote aujourd'hui d'un second chapitre plus brutal, plus sanglant et plus troublant - bref, en un mot, meilleur - que le précédent. À quelques jours de l'Halloween, les fans d'épouvante se font offrir sur un plateau d'argent une bonne raison de... sourire.

Usant d'un montage vertigineux, où il multiplie les plans renversés, le réalisateur brouille, sans se soucier de la cohérence du récit, les frontières entre la réalité, les souvenirs traumatiques, les rêves éveillés et les cauchemars nocturnes. Sans oublier d'y inclure une bonne dose d'humour. L'expression s'offrir une pinte de bon sang aura rarement autant pris tout son sens.

The film climaxes with a body-horror maximalism coupled with a minimum of logic. Until then, though, it wrings honest jolts out of the unnerving hothouse of unreality that is pop stardom.

Smile 2 confirms Finn as a gifted visual stylist who has an assured hand with his actors. He perhaps just needs to back off a little from the misconception that more is more and maintain a greater focus on his story skills.

Smile walked so that Smile 2 could sprint.