Sorry to Bother You
Un démarcheur téléphonique peu confiant en lui découvre la clé magique du succès qui lui fait gravir les échelons de sa hiérarchie au moment où ses camarades activistes s'élèvent contre l'injustice des conditions de travail. Il va lui falloir choisir entre révéler le terrible secret de ses supérieurs ou rejoindre la lutte.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Cinereach
- Forest Whitaker's Significant Productions
- MACRO
- MNM Creative
- The Space Program
distributeur
- Les Films Séville
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Cette comédie politique est d'une audace rare. Mêlant satire sociale, humour absurde et envolées vers le fantastique et l'horreur, cette fable mordante sur le racisme, l'engagement et l'Amérique de demain évoque à la fois les scénarios de Charlie Kaufman, les comédies de Mike Judge et le militantisme mordant des satires sociales des années soixante.
Lire la critique complèteTon Canapé
Extrêmement inusité, sauvagement satirique et offrant l'une des prémisses les plus originales jamais imaginées, Sorry to Bother You est sûrement l'un des films les plus éclatés que vous n'aurez jamais vus.
Lire la critique complèteLa Presse
Enfin, pigeant tour à tour dans les boîtes à outils de la satire, du cinéma politique, de la science-fiction et du fantastique, le réalisateur Boots Riley parvient à créer un film à l'humour ultragrinçant, né de l'indignation, mais traversé par un mince filet d'espoir.
Lire la critique complèteRogerebert.com
Every frame and choice in "Sorry to Bother You" feels like the opposite-a pronouncement of a major new talent.
Lire la critique complèteJoblo.com
Yet, when SORRY TO BOTHER YOU dips into sci-fi horror in the last act, it all goes a little haywire.
Lire la critique complèteRolling Stone
Boots Riley's brilliant, take-no-prisoners comedy skewers social norms, racial strife and the media - then things get really weird.
Lire la critique complèteCinema Blend
A sneaky experience that demands multiple viewings, Sorry To Bother You is a scathing comedy that leaves everything on the field, even if it only needed to leave a good three quarters on the field to get its point across.
Lire la critique complète