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Cliché convenu surjoué
Mauvais.. même dans le genre. C'est trop surjoué. Caricatural cliché.. l'acteur qui personifie Sylvain est juste pas naturel... voir pas très bon. Beaucoup de raccourcis et de scènes improbables. Comme par exemple, quand elle se fait offrir d'aller rencontrer les gens du village dans un bar .. embarque dans le pick up, franchement. Quelques bons flashes comme la scène du début.. mais ça se gâche vite avec le gars qui traite sa blonde de folle devant ses amis. Grossièrement caricatural.
Tellement plate
Comment faire comprendre au cinéma québecois que les scènes de fesses n'élèveront pas la qualité du film. Ce film est un flop total. Ne perdez pas votre temps.
Les clichés de l'ennui
Bon. Bof. Rien de neuf. Au départ, on s'attend à du nouveau. À autre chose. Ça commence très bavard et un peu confus. Agaçant. On s'accroche, il faut toujours laisser une chance... Mais finalement, on tombe sur du déjà-vu. L'impression de voir un énième film de Claude Lelouch. On est exactement dans les scénarios des années 80. Encore une fois. Sans rien de nouveau. Un amour entre deux personnes que rien ne rapproche socialement. Les prémisses sont comme une recette aux ingrédients éculés. Ça dure depuis la nuit des temps: Grèce antique, Shakespeare, Corneille, Hugo, Molière, Flaubert, Dumas, etc. Encore et encore. On est à la limite du plagiat. Du 'remake'. C'est somme toute assez banal. Prévisible. Caricatural. Surfait. Long. Ah... et ces plans de caméra qui donnent la nausée. Zoom-in. Zoom-out. La première fois, bon, on se dit pourquoi pas. Mais une demi-douzaine de fois en 30 minutes, c'est la saturation. Niveau amateur ou jeune cinéaste qui s'amuse avec la fonction. En conclusion, rien de bien intéressant. Rien de nouveau. Rien d'intéressant. On est loin de l'émotion et de la subtilité de 'The Bridges of Madison County' (Sur la route de Madison). Ni de 'Out of Africa'. Ni de 'Eternal Sunshine of the Spotless Mind'. Ni de 'The Piano'. Car ici, il n'y a ni émotion, ni subtilité. C'est une comédie sentimentale à grands coups de hache, puisque ça se passe dans les Laurentides, avec du sexe pour meubler le temps.
N'allez pas voir ça, gaspillage de pellicule.
J'aurais aimé encourager un film québécois, mais ça m'est impossible avec ce navet.
raté
L'idée était pas mal, mais le scénario primaire du rural à la chemise carottée pour plaire aux français qui imaginent encore le Québécois typique au fond du bois. Comme dit précédemment, un usage de la caméra très pénible. Je n'ai pas aimé.
je n ai pas apprécié la fin.
Clichés par dessus CLICHÉS
Copie coller de plusieurs films, clichés par dessus clichés qui tombent dans la facilité , très décevant
Génial comme Monia.
Monia Chokri est en phase de devenir une cinéaste incontournable du paysage cinématographique québécois! Après deux œuvres à la fois très différentes (par leur sujet) et similaires (par la manière dont elles sont appréhendées) - en plus d’être très bien accueillies mais peut-être trop versées vers le cinéma d’auteur - la cinéaste signe ici son meilleur film et le plus accessible. « Simple comme Sylvain » est un long-métrage en effet bien plus fédérateur sans pour autant verser dans le populaire, l’ancienne actrice fétiche de Xavier Dolan nous narrant une histoire d’amour et de passion certes hors des sentiers battus mais qui pourra parler à tout un chacun. On assiste donc à la naissance de cette romance par le biais d’un banal adultère et le film nous fera suivre tout le cheminement et les conséquences de cette rencontre à travers les yeux du personnage féminin joué avec fougue et malice par l’excellente Magalie Lépine-Blondeau. Cette actrice est la meilleure amie de Chokri à la ville et la complicité et la confiance qui unit les deux femmes se ressent à travers le film.
Nous voilà donc face à une comédie romantique avec une tonalité peu commune et un humour singulier qui ne ressemble à aucun autre. « Simple comme Sylvain » prouve que la néo-cinéaste a un terrain de jeu et un univers bien à elle et qui nous cueille si on est client de ce type d’ambiance. Que ce soit sur le versant des sentiments ou celui du rire, Chokri frappe juste. Fini le côté complètement décalé de son précédent film, « Baby-sitter »; ici on est dans une œuvre plus réaliste et moins onirique qui n’empêche pourtant pas le film de contenir beaucoup de moments cocasses et décalés mais pas trop. On s’esclaffe beaucoup devant ce long-métrage sans que cela soit forcé : on rit avec les personnages plutôt que d’eux, ce qui montre une tendresse et une empathie mais jamais de prétention ou de misanthropie. Quant au diagnostic posé sur les relations de couple et amoureuses, il est juste et ô combien contemporain.
Le joker qui hausse le film encore plus haut et qu’on n’attendait pas forcément, en plus de la simple mais pimpante et réussie comédie sentimentale, est sans conteste l’analyse affutée et pleine de malice des répercussions que peuvent avoir les différences sociales dans une relation amoureuse. En effet, le personnage du tombeur brut de décoffrage et issu d’un milieu modeste et rural dont tombe amoureux Sophia, le personnage joué par Lépine-Blondeau, a pour lui son physique et l’aspect sexuel. Mais une fois le désir et la passion retombée, la réalité fait son retour et la différence intellectuelle, culturelle, de niveau de vie et de centre d’intérêts – en gros de milieu social - vient mettre un grain de sable dans la passion. Et « Simple comme Sylvain » le démontre avec doigté, finesse et beaucoup d’humour. Les scènes de repas chez l’un et chez l’autre, sans sombrer dans la moquerie, sont jubilatoires et la morale finale est dure et cinglante mais crédible.
En plus, Chokri démontre une nouvelle fois que sa mise en scène a du coffre et de la personnalité même si elle a un peu tendance à abuser d’effets de style parfois un peu trop voyants ou inutiles. En bref, son nouveau long-métrage est une belle réussite avec un récit classique mais efficace, bien écrit et bien construit. Il nous plaît aussi bien sur le versant des choses dites, où la réalisatrice apporte du neuf de manière caustique que sur le jeu impeccable de ses comédiens ou encore des sensations qu’il procure, entre rires et analyse sociale. Un coup de maître qui donne envie de voir la suite, chacun de ses films étant meilleur que le précédent.
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Un peu de modération !
GÉNIAL comme Scorsese , Allen , Kubrick ,Bergman ??? Pour moi ces réalisateurs ont fait leurs preuves en tant que réalisateurs GÉNIAUX.
NIAISAGE SENTIMENTAL
Malgré une bonne interprétation des deux acteurs principaux , ce film m`a fait pensé à un téléfilm avec son scénario insignifiant et sa réalisation très primaire. Je ne comprend pas que ce film soit si adulé par les critiques ...peut-être à cause de sa réalisatrice ? Bref, il y a tellement d`autres bons films Québécois à voir présentement dans nos cinémas.
La bête et l'intello.
La bête pour le coeur et l'intello pour la tête.
belle prémisse mais...
Quand j'ai lu le synopsis je me suis dit avec une actrice de la trempe de Magalie Lépine Blondeau ça va être bon, surtout avec le sujet exploré. Je dois dire que j'ai pas été très impressionné, y'a pas d'émotion à regarder ce film, j'ai réfléchi un peu par moment, j'ai rit timidement à l'occasion. MLB crève l'écran, je crois qu'elle est une des meilleures au Québec mais ce projet de film intello est raté à mon avis. Petit budget, trop de longueurs, photographie ordinaire, intrigue ennuyeuse. Ce thème là, ça fait longtemps qu'on l'explore au cinéma et je m'attendais à quelque chose qui allait me surprendre, me sortir de ma zone de confort. Mais non. Je peux dire que ce film ne mérite pas le détour. 15$ plus l'essence mal investi.
un film inégale...par moment drôle mais aussi long par moment
Euh! C'est un bon film mais pour un publique de moins de 40 ans...car les protagonistes sont comme des adolescents attardés émotionnellement qui utilisent l'intellectualisme pour ne pas vivre leurs émotions...l'actrice et le personnage principale sont parfaites l'une pour l'autre ...quelques longueurs passagères ...j'ai baillé quelques fois mais j'ai aussi ri et souri plusieurs fois. Suis-je trop vieux! Trop en accord avec moi-même pour bien apprécier ? Sans doute ...j'ai réglé mon questionnement intérieur vers 36-37... Je ne suis pas plus heureux en relation que sans ...le film n'aurait pu être mieux ...car la réalisatrice est allée jusqu'à la limite de ses connaissances et expériences émotionnelles.
Monia Chokri, la JJ Abrams du zoom in
Le jeu des acteurs est formidable, le scénario est bon, mais j'ai eu aucun plaisir à regarder ce film. Pourquoi? La caméra, mais en particulier la surutilisation de la technique du "zoom in/out", qui rend la direction photo complètement insupportable. J'ai failli quitter la salle après seulement une trentaine de minutes, tellement la caméra me dérangeait.
Ridley Scott utilise cette technique, dans les films Robin Hood et Gladiator, ainsi que dans d'autres, c'est à vérifier. Mais il ne l'utilise que très peu. Mais dans le film de Chokri, elle utilise cette technique dans quasi chaque plan du film. On dirait qu'elle vient de découvrir la fonction sur l'appareil... comme les cinéastes des années 70. Bien que le film est un aspect rétro à la réalisation, c'est pas nécessaire de tout emprunter à cette époque.
Tout ça pour dire que ça rend l'expérience du film carrément indigeste.
Un fan de Monia Chokri...mais je passe encore une fois
à cause de ce que tu dis; "La caméra, mais en particulier la surutilisation de la technique du "zoom in/out", qui rend la direction photo complètement insupportable ". J'attends toujours le moment ou Chokri nous présentera (soit en personnage ou en film) quelque chose à la "Emma Peeters"
Jusqu'à la nausée!
Vous aussi avez remarqué ça! Je ne suis pas le seul. Ça donne la nausée par moment et un aspect kitsch à la limite du ridicule.
Torride et intelligent
La chimie entre les 2 acteurs crève l’écran. L’histoire est très bonne. C’est un film intelligent!
CLASSES SOCIALES
MALGRÉ TOUS LES EFFORTS, IL Y AURA TOUJOURS UN ''GAP'' ENTRE LES DIFFÉRENTES CLASSES ce n'es pas une question de mettre de l'eau dans son vin ou autre cliché du genre, il y a toujours qqchose qui accroche