Sécurité maximale

Coscénarisé et produit par Luc Besson, ce thriller de science-fiction aux emprunts assumés enfile les scènes d'action musclées mais aussi les invraisemblances, souvent ahurissantes.

One of the company's latest, the English-language Lockout, is as dopey an entertainment as imaginable, but it's also a reminder that the film's star, Guy Pearce, has always had great screen magnetism, to which he has now added a bedrock of muscle. Also: he can act.

The laughs don't come intentionally here. Directed by feature-film newcomers James Mather and Stephen St. Leger, who co-wrote the script, Lockout wants to be Aliens 3-meets-Die Hard. But it doesn't muster the tension or energy to come within a galaxy of either.

Lockout feels like a relic from the nineties, and I mean that in the best way possible.

Lockout s'avère assurément l'une des productions les moins inspirées à être sorties de l'esprit du cinéaste français. Nous nous retrouvons en somme devant une création laissant bien paraître quelques idées qui auraient pu s'avérer payantes si elles avaient simplement été exécutées d'une manière un tant soit peu réfléchie.

Considérant la faiblesse des effets spéciaux, les longueurs, les invraisemblances et le punch gratuit de la fin, Lockout reste tout de même un petit film sympathique pour qui a une heure trente à perdre devant un grand écran.

Witty one-liners compensate for cliched plotting and cheesy effects in this sci-fi action thriller.

Cherchant à combiner un peu n'importe comment une intrigue touffue en un peu moins de deux heures de rebondissements et de sensations fortes, Lockout peine à divertir correctement.

With a plot cribbed so closely from Escape From New York and such a frequent disregard for character motivation, logic or even the laws of gravity, Lockout is pure schlock in the usual Besson mode, but it never picks up enough steam to turn into something outrageous and great.

Pour ses effets spéciaux de piètre qualité, pour le vol éhonté de pans entiers de scénario d'autres films et pour son portrait dégonflé de la violence carcérale, Sécurité maximale obtient à peine deux étoiles sur cinq.