Saine et sauve

Dommage que par la suite, les affrontements répétitifs et les développements vaseux prennent le dessus.

Despite some impressively gritty street-level action, Safe plays it far too safe.

S'il ne s'agit pas du meilleur effort auquel il ait pris part au cours des dernières années, Jason Statham s'acquitte néanmoins parfaitement de sa tâche dans la peau de ce héros à toute épreuve auquel le scénario de Yakin aura su conférer un côté un peu plus humain.

Global action icon Jason Statham plays Luke Wright in Safe, so you know this cop is not going down easily. And that's the trouble with Safe : you know where it's going every step of the way.

Vous l'avez compris, je m'attendais à une espèce de Transporteur avec humour sympa, cascades à couper le souffle et histoire sortant un peu de l'ordinaire. J'ai trouvé, dans ce Saine et sauve, une resucée oubliable de tant de films de série B que j'ai eu hâte de sortir de la salle. Dommage!

Safe comporte beaucoup trop d'action et un scénario alambiqué, mais également de solides personnages étonnamment complexes. Pour une fois, les amateurs de monsieur seront plutôt bien servis.

Jamais ennuyeux, pour un peu qu'on aime la casse, Safe n'a absolument rien d'un futur classique, rien non plus d'un « bon mauvais film ».

Throw in the hugely stereotyped Russian and Chinese baddies and the car chases and fights that director Boaz Yakin shoots so shakily they're impossible to follow, and Statham's the only thing left to like here.

Boaz Yakin's slick direction, marked by quick cuts, unstinting energy and a lack of sentimentality, makes the action scenes satisfying. But he's a better director than writer. The dialogue is riddled with clichés.