Rouge sang
v.o.f.s.-t.a. : The Storm Within
La fin de 1799 s'annonce clémente pour une famille québécoise sans histoire. Pendant que papa est en visite chez un voisin, sa femme Espérance s'occupe des trois enfants tout en préparant les festivités du réveillon. On cogne soudainement à sa porte. Un capitaine anglais fait irruption avec quelques soldats, dont un qui est blessé sérieusement. La jeune femme devra en prendre soin, repousser les avances insistantes de deux invités indésirables et chercher un moyen de mettre en sûreté sa progéniture. Cependant, lorsqu'elle apprend que ses invités ont assassiné son mari, le sang risque de couler...
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Ciné Télé Action
distributeur
- Atopia Distribution
Revues de presse
Médiafilm
Au-delà des invraisemblances, qui s'accumulent durant la seconde partie, il faut signaler l'énergie qui se dégage de l'ensemble.
Lire la critique complèteLe Soleil
Isabelle Guérard porte le film sur ses épaules avec beaucoup d'aplomb, même s'il manque parfois dans son visage la démence nécessaire à une certaine violence. Lothaire Bluteau est remarquable. Comme d'habitude.
Lire la critique complètePanorama-Cinéma
À savoir que, si Martin Doepner se révèle indéniablement doué sur le plan de la technique, il lui manque cette rigueur intellectuelle qui aurait fait de son film autre chose qu'un simple exercice de genre bien rodé, autre chose qu'une honnête démonstration de savoir-faire - et qui en aurait fait quelque chose comme une vraie surprise.
Lire la critique complèteLa Presse
Dommage, car dans la première partie, M. Doepner avait réussi à éviter les pièges du film d'époque (il y a eu tellement pire au Québec!) en s'en tenant à un scénario sobre, dépouillé, efficace, crédible.
Lire la critique complèteAgence QMI
Décors, costumes, vocabulaire, distribution, scénario : rien n'est laissé au hasard et on se laisse facilement embarquer dans cette véritable descente aux enfers.
Lire la critique complèteCinéfilic
Les choses s'accélèrent en effet ensuite et le film prend les allures d'un film d'horreur qui hésiterait entre le réalisme et l'excès, entre le malaise et le fun et qui, tout en restant une tentative d'aborder le genre un peu plus satisfaisante que la (piètre) moyenne nationale, ne convainc pas vraiment.
Lire la critique complèteVoir
Là où le bât blesse, c'est dans le scénario, coécrit avec Joseph Antaki et Jean Tourangeau, qui réserve peu ou prou de surprises et qui prend trop son temps à mettre, littéralement, la table.
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