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Nullissime !
ce film est juste un prétexte pour réunir les deux acteurs "bankable" du moment, pour faire des entrées.
Scénario pitoyable, humour pour gamins de 7 ans, jeu des acteurs simpliste (bon ceci dit, ils ne sont pas aidés par les scénaristes),....
A éviter, même pas en DVD, je ne parle pas du Blu-ray qui ne se justifie pas.
Pas aussi bon que le chtis
Le même acteur principal encore en amour avec une belge..... Le douanier belge est hilarant et raciste mais c'est ce qui est drôle... Quelques longueurs inutiles mais les bandits sont comiques tellement ils sont idiots !!! A ne pas manquer su on veut s'esclaffer à l'occasion !!!
Pas grand chose à nous offrir ...
J'ai très peu ri en visionnant ce film. C'est du burlesque à la de Funès mais où on ri très peu. Le film ne nous mène nulle part et je trouve que les personnages n'évoluent pratiquement pas. L'action est des plus prévisible et sans surprise. L'époque où se déroule ce film semble nous ramener dans les années 60. Je m'attendais à beaucoup plus! Film simpliste d'une étoile et demi tout au plus...
Bien fait
Grâce à Cinoche, j'ai pu le voir en avant-première. Assez cocasse et le duo Poolverde (excellent dans ce rôle de Belge un peu raciste et facile à la gâchette) et Boon passe assez bien. Si un peu moins bon que les "Ch'tis", Dany Boon a encore fait part du thème des "préjugés", cette fois des deux côtés de la frontière. Quelques clins d'oeil aussi aux conséquences locales quand les frontières internationales s'ouvrent.
Pas si mal..
Je suis allé voir le film en avant-première grâce à cinoche et je ne m'attendais à rien de spectaculaire. Le résultat: je donnerais un gros 6 sur 10. Il y a de bons gags et aussi quelques longueurs. Je n'irais pas nécessairement le voir au cinéma..le louer fera très bien l'affaire. J'ai préféré le premier film de Dany Boon.
Bref c'était drôle mais pas à se rouler par terre....
Critique Rien à déclarer
Il est clair que le nouveau Dany Boon était attendu au tournant après le succès monstre de Bienvenue chez les ch’tis, il est clair que Dany Boon contre toute attente n’a pas essayer de rebondir de façon assez outrancière sur la réussite de sa précédente réalisation, bien au contraire, il adopte un profil bas souhaitant juste surfer sur le créneau populaire, créneau que l’on retrouve tout bonnement dans sa nouvelle réalisation, alors même si le sujet est moins accrocheur que Bienvenue chez…, Rien à déclarer reste tout aussi savoureux, sa nouvelle réalisation se classe donc dans la comédie douce et savoureuse cherchant avant tout à donner du plaisir au spectateur (certains réalisateurs ont semble t’il oublier ceci) Rien à déclarer repose essentiellement sur le duo Poelvoorde/Boon plus que parfait et qui rappelle quelque peu ce de Gérard Oury dans ses meilleurs films où il opposait De Funès à Bourvil, où l’on retrouve aussi l’impossible teigneux et le gentil dadais, ce type de couple fonctionne encore parfaitement bien aujourd’hui, en atteignant l’anthologie loufoque. Surtout lorsqu’il est question de confronter les idées reçut entre les français et les belges, et rien de mieux que d’utiliser le cadre des douaniers pour retrouver les esclandres avec un Poelvoorde certes dans l’excès mais tellement bon qu’on ne pourrait s’en lasser. Mais Rien à déclarer est loin d’apporter l’unanimité, tout d’abord le cinéma populaire serait elle devenue l’ultime excuse pour que les réalisateurs qui ont la chance de réaliser un film puissent faire n’importe quoi, certes on pourrait supposer que Rien à déclarer n’est autre qu’un remake relut de Bienvenue chez les ch’tis, ici on remarque que la tendresse est quelques peu effacer là où le précédent film arrivait à proposer des personnages attachants, Dany a force de vouloir se porter en étendard de dénoncer un racisme qu’il doit être le seul à se devoir d’investir du rôle de porte-étendard de la tolérance, pas sur que le film fasse le même score que Bienvenue… Dany Boon reprend l’ingrédient phare de ces films qui reste la modestie, sauf qu’ici il utilise plus de moyens mis en œuvre qui peuvent même rendrent le produit final écœurant. Le scénario reste assez invraisemblable avec un conflit assez vite réglé au final à croire que Dany Boon était plus préoccupé par montrer ses moyens sans inspiration, il a donc décidé d’être plus ambitieux, ainsi là où Bienvenue chez les ch’tis restait plus un film personnel, Rien à déclarer reprend donc des thèmes fort présent dans les films d’action à l’américaine (trafic et même voiture tunée) on a même droit à des intrigues assez bateaux et une histoire plus centrée sur le style buddy-movie, certes on peut remarquer que Boon essaye d’améliorer son histoire plus travaillé sauf que ses efforts ont surtout le défaut de ne faire qu’étaler durant tout le film le début de ce qu’il semble être la misère profonde de son cinéma, en effet tout semble ne pas tenir de bout en bout et le tout réunit donne une très mauvaise alchimie, on se demande même ce que de bons acteurs comme Olivier Gourmet ont fait pour se retrouver dans ce traquenard, mais on retrouve la volonté de Boon d’insister beaucoup sur le burlesque , empruntant quelques références à Black Edwards dans le coté théâtrale et la mis en scène assez intéressantes alors que l’ensemble ressemble plus au meilleur épisode de la série Joséphine Ange gardien. Aidé par le coté populistes et humanistes que l’on finit par retrouver encore bien que ces derniers soient moins présents, surtout pour ce qui est de digérer les acteurs qui accompagnent le duo, car on ne peut nier le fait que Rien à déclarer est surtout un film de seconds rôles, ainsi il est souvent le cas de que Poelvoorde se voit voler le devant de la scène par le fleuron de la scène belges. Bien que l’histoire manque de piquant par moment, là où l’on aurait aussi apprécier avoir plus de gags ou scénarios comiques, le film propose une intrigue policière forcément tournée en dérision ayant plus de poids que Bienvenue… qui se contentait pour l’occasion que de proposer l’univers d’une région et de ses habitants. Les scènes de voitures, bien que ridicule sont assez similaires que les Taxi ou autres films de Besson bien que pour l’occasion nous ne prêtons attention. Le réalisateur se propose donc en chevalier blanc, il prône la paix entre les peuples (du moins il essaye) mais du moins est il a lui de jouer ce rôle, la question est lancé étant donné que Dany Boon n’est pas très connu pour ses talents de scénaristes, de même on a du mal à croire à l’histoire d’amour dont Dany Boon est encore le précurseur. Il est clair que la qualité de ce film divise en effet le film arrivera a trouver aussi bien des sympathisants, qui accepteront la simplicité sur de nombreux points et de modestie, qu’ils qualifieront d’appréciable sans tout fois apprécier profondément le film, on retrouvera des scènes d’antagonismes régionaux qui tout comme Bienvenue chez les ch’tis essayent de rester le plus sincère possible, ici on a plus tendance à voir défiler les moyens que Dany Boon se permet d’étaler , mais on vire ici plus vers la paresses intellectuelle, le fait de proposer un film de ce genre nous laisse supposer que le réalisateur a été surtout intéressé par la reconnaissance d’un public et par l’argent. Dany avait en effet réussit avec Bienvenue chez les ch’tis à imposer un film personnel et fort comique par les clichés sur le nord, mais ici le rôle de cinéaste-arbitre ne lui sied pas trop, il croque d’un coté les douaniers français (légèrement méprisant mais bonne pâtes dont Boon est le meneur) et de l’autre les belges (antipathique tenu par un Poelvoorde excellent). Difficile donc de faire passer le film pour une satire à la tolérance et ce que Boon essaye de nous apporter parait moins bien sincère tout comme son premier film, on espère donc que le réalisateur et les producteurs puissent finir par arrêter cette formule tristement gagnante qui finira tôt ou tard à trouver ces limites. Mais ce que l’on gagne en péripéties et dans l’intrigue bien plus avancée, on le perd en charme et en situation comique, le public se sentira peut être trahi, voir déçu. Boon arrive tout de même à proposer de nombreuses bonnes scènes qui font bien souvent mouches, en espérant que Boon arrivera à rester dans une optique efficace pour son prochain film, sans finir pas sombrer dans les films industriels.