Quelques minutes après minuit

Le réalisateur du très réussi L'orphelinat signe ici, à partir d'un matériau d'inspiration victorienne (le roman de Patrick Ness) un mélodrame pleinement assumé, dont seuls les latins ont le secret. 

After The Impossible, I called J.A. Bayona the next Steven Spielberg. If that's true, then A Monster Calls is his E.T.

At it’s heart, A Monster Calls is a metaphor for facing the darkness and looking past it.

Adaptation of Patrick Ness' novel digs deep into imagination and comes up with grand, moving statement on grief.

Patrick Ness' screenplay, adapted from his own 2011 book, hits the emotional notes required by an illness-centered family drama with grace (...).

Le film nous offre une belle leçon sur la résilience et sur le pouvoir de l'imagination... il est juste dommage qu'elle soit aussi appuyée. 

And an often very powerful film.

Inspirée du livre de Patrick Ness, cette fable gothique - dont le problème sera de se trouver un public: très sombre pour les enfants; tenant trop (?) du «conte» pour les adultes - est, visuellement, d'une beauté qui transporte.

Pour terminer, ajoutons que c'est grâce à des personnages touchants, à un récit proposant des enjeux courants, mais traités de manière originale, une excellente trame sonore et un travail de réalisation minutieux, que le nouveau film de J. A. Bayona parvient à rejoindre la liste des bons films fantastiques de ces dernières années, et propose une expérience mémorable et durable de son Monstre, avec un grand M.