Quai d'Orsay
Tout juste sorti de l'école, Arthur est engagé au Quai d'Orsay. Le ministre des Affaires étrangères, Alexandre Taillard de Worms, a décidé qu'il serait responsable du « langage », c'est-à-dire de rédiger les discours. Avant de se mettre au travail, Arthur doit cependant faire connaissance avec les conseillers du fougueux ministre sur divers sujets et son Chef de cabinet. Il doit aussi composer avec le tempérament bouillant du ministre et ses directives inhabituelles, alors que se développe une crise internationale, sur fond de guerre civile en Afrique, qui les mènera à New York afin de livrer un discours important.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Site 4 View Productions
distributeur
- Axia Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
On retient par dessus tout l'esprit vif qui anime l'ensemble et la distribution visiblement enthousiaste, dominée par l'inspiré Niels Arestrup.
Lire la critique complèteLa Presse
Cela dit, Quai d'Orsay séduira davantage ceux qui s'intéressent un peu à la politique française. Les autres prendront plaisir à retrouver Thierry Lhermitte au sommet de sa forme dans un rôle principal.
Lire la critique complèteAgence QMI
Oui, cet univers est fou, cacophonique et parfois totalement absurde. Au cinéma, et devant sa caméra, cela devient une excellente comédie, extrêmement intelligente, qu'il fait bon voir en cette période électorale.
Lire la critique complèteCinéfilic
L'effort très verbeux n'évite pas une certaine répétition au niveau des thèmes et des blagues. Il est cependant élevé par une mise en scène extrêmement dynamique qui lorgne vers le cinéma de Preston Sturges sans pour autant nier ses origines.
Lire la critique complèteLe Parisien
Il y a longtemps que Bertrand Tavernier tournait autour d'une comédie liée à la politique : c'est mission accomplie.
Lire la critique complèteLe Nouvel Obs
Une plongée drolatique dans les coulisses du ministère des affaires étrangères. Tavernier réussit son coup, Lhermitte rayonne en simili Villepin.
Lire la critique complèteLe Monde
D'où vient, dès lors, la sensation que Tavernier est, en définitive, passé à côté de son sujet ? A trop vouloir tirer son film du côté de la BD, et donc du burlesque, il a perdu en intensité dramatique.
Lire la critique complèteLe Point
En plongeant dans les eaux agitées du Quai, Tavernier a signé pour une nouvelle jeunesse.
Lire la critique complète